Maître de conférences à l’Université de Paris depuis 2015, elle enseigne principalement la biologie moléculaire et participe au développement d’enseignements supra-disciplinaires. Elle porte un intérêt particulier aux pédagogies innovantes.
Côté recherche, elle fait partie de l’unité mixte de recherche CNRS 8251 (Biologie Fonctionnelle et Adapative), et s’intéresse à la physiopathologie musculaire, notamment aux rôles des phospholipides, principaux composants des membranes cellulaires, trop longtemps considérés comme une simple barrière biologique et physique.