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Articles on Barkhane

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Un groupe de militaires de la gendarmerie nigérienne à l'école de gendarmerie, le 11 janvier 2023, à Niamey, au Niger, en Afrique. David Zorrakino/Europa Press via Getty Images

Burkina Faso, Mali et Niger signent un pacte de défense : l’Alliance des États du Sahel en quête d’autonomie stratégique

Les menaces de la Cedeao d’intervenir militairement au Niger ont joué un rôle dans la création de l’Alliance des Etats du Sahel dont les membres s'engagent à se porter assistance en cas d’agression.
Soldat français à l’entraînement en République centrafricaine le 29 septembre 2022. Trois mois plus tard, tous les militaires français avaient quitté le pays. Barbara Debout/AFP

Le soldat, la forêt, le climat

Faut-il nécessairement choisir entre ces deux priorités que sont, d’une part, l’armée et l’industrie de défense et, d’autre part, la protection du climat ?
Des Maliens manifestent contre la présence des troupes étrangères dans leur pays. Photo : ANNIE RISEMBERG/AFP via Getty Images

Retrait des troupes onusiennes du Mali : ce qui va changer sur le plan sécuritaire

Le pouvoir de transition a beau être déterminé à changer de partenariat, les résultats risquent de ne pas suivre, parce que les défis de sécurité sont complexes.
La mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali est présente dans le pays depuis neuf ans. Le mouvement Yérèwolo demande son départ. AFP

Mali : Fallait-il renouveler le mandat de la Minusma ?

La junte au pouvoir au Mali, qui a déjà obtenu la fin de l’opération française Barkhane et s’est largement rapprochée de Moscou, s’en prend désormais à la Minusma, mission de l’ONU dans le pays.
Le nouvel homme fort de la Guinée, le colonel Mamady Doumbouya, à Conakry, le 10 septembre 2021, alors qu'il vient de renverser le président Alpha Condé. Il a déclaré que le coup d'État n'en était pas un, mais plutôt une «action inaugurale». (AP Photo/ Sunday Alamba)

Vague de coups d’État en Afrique : on les appelle désormais des « réinterprétations constitutionnelles »

Ce qui est nouveau avec les coups d’État qui se succèdent depuis deux ans en Afrique de l’Ouest est la manière dont les nouveaux dirigeants camouflent leurs actions en nommant la réalité autrement.
Manifestation à Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso, le 25 janvier 2022. Olympia De Maismont/AFP

Au Sahel, la France poussée dehors

Dans plusieurs pays du Sahel, la présence française est de plus en plus vertement remise en cause, dans un contexte marqué par la recrudescence des putschs militaires.
Le président par intérim du Mali, le colonel Assimi Goïta, salue des militaires à l’issue de sa prestation de serment, le 7 juin 2021 à Bamako. Annie Risemberg/AFP

Le pouvoir militaire est-il une solution durable au Mali ?

La prise de pouvoir du colonel Assimi Goïta semble entériner la présence à long terme des militaires à la tête du Mali. Avec quelles perspectives ?
Le président du Niger, Mohamed Bazoum, reçu par Emmanuel Macron à l’Élysée le 17 mai 2021. Le pays est en première ligne face aux groupes djihadistes qui opèrent dans le Sahel et au Nigeria. Ludovic Marin/AFP

La fin de l’opération Barkhane vue du Niger

Pays essentiel pour la sécurité du Sahel, surtout à présent que la France a annoncé la fin de l’opération Barkhane, le Niger vient d’élire un nouveau président qui sera confronté à de nombreux défis.
Idriss Déby, en treillis, accueille Hervé Morin, alors ministre français de la Défense, le 6 février 2008 à N'Djaména. Pascal Guyot/AFP

Idriss Déby et la France : la diplomatie en treillis

Idriss Déby était un allié militaire majeur de la France en Afrique. Si bien que Paris l’a souvent soutenu contre les rebelles et a toujours fermé les yeux sur son bilan en matière de droits humains.
Une partie de l'opinion publique exige la fin de l'opération Barkhane, comme l'indique cette banderole brandie lors d'une manifestation à Bamako le 21 août 2020. Annie Risemberg/AFP

Le Mali peut-il se passer de l’opération Barkhane ?

Mettre fin à l’opération Barkhane ne résoudra pas les problèmes sécuritaires du Mali. L’armée française est évidemment vouée à quitter le pays un jour, mais sa présence est pour l’instant nécessaire.
Le premier ministre Jean Castex en compagnie d'un militaire français à Faya Largeau, Tchad, le 31 décembre 2020. Jérémy Marot/AFP

La France dans la tourmente au Sahel

Après huit ans d’intervention française au Sahel, le bilan est plus que mitigé. La France est souvent mal vue par les populations locales et la sécurité est loin d’être rétablie dans la région.
Un militaire surveille un bureau de vote à Ouagadougou, le 22 novembre 2020. Les élections (la présidentielle et les législatives) se sont déroulées dans un fort climat d'insécurité, et de nombreux bureaux de vote sont restés fermés. Olympia De Maismont/AFP

Élection présidentielle au Burkina Faso : les cartes et le territoire

La récente élection présidentielle au Burkina Faso dévoile l’importance des analyses cartographiques. Des outils aux diverses facettes, essentiels dans l’interprétation des phénomènes politiques.
Des soldats de l'armée française patrouillent dans le village de Gorom Gorom à bord de véhicules blindés dans le cadre de l'opération Barkhane dans le nord du Burkina Faso, le 14 novembre 2019. Michele Cattani/Afp

Pourquoi l’opinion publique malienne a une vision négative de l’opération Barkhane

Au Mali, les critiques visant l’opération Barkhane, dont l’objectif proclamé est de rendre sa stabilité au pays, sont de plus en plus vives.
Un soldat français de l'opération Barkhane sur une base des Forces armées maliennes au pied des monts Hombori, région de Gourma (Mali), le 27 mars 2019. Daphné Benoit/AFP

L’enlisement français au Sahel

Le sommet qui a réuni à Pau, le 13 janvier dernier, les dirigeants de la France et du groupe G5 Sahel a débouché sur quelques mesures qui ne suffiront pas à ramener la paix dans la région.

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