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Articles on fin de vie

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Entre soignants, les principes éthiques sont sans cesse construits et déconstruits. Shutterstock

Éthique et fin de vie : quelques observations depuis un service de gériatrie

Dans les coulisses du quotidien des services de soins palliatifs, les réflexions éthiques sont permanentes et ne se résument pas à un « pour ou contre poursuivre le traitement ». Retour de terrain.
La question de l’aide active à mourir figurera au centre des débats sur le futur texte de loi sur la fin de vie. Shutterstock / David Gyung

Fin de vie : pourquoi le « droit de provoquer délibérément la mort » bouleverserait l’éthique médicale et la relation de soin ?

En 2024, le Parlement se penchera sur le projet de loi relatif à la fin de vie. Au centre des débats se tiendra la question sensible de l’« aide active à mourir », autrement dit l’euthanasie.
Même pour un professionnel de la santé expérimenté, estimer l'espérance de vie d'un patient atteint d'une maladie grave est un défi. (Shutterstock)

Combien de temps vivra un être cher ? La réponse est difficile à entendre, mais ne pas savoir est encore pire

Une prédiction précise de l’espérance de vie peut devancer la tenue de discussions sur les préférences et les souhaits de fin de vie, ainsi que la mise en place des soins palliatifs.
En droit français, le concept de “souveraineté sur son corps” n'est pas reconnu. Plusieurs facteurs de ce type pourraient compléxifier la rédaction d'une loi encadrant la fin de vie. Vita Leonis / Unsplash

Aide active à mourir : de la difficulté du travail législatif à accomplir

L’autorisation de l’aide active à mourir pose de multiples questions légales. Conditions d’accès, consentement, droit à disposer de son corps… Le point sur les dimensions juridiquement sensibles.
La personne de confiance peut être le porte-parole qui occupe la première place dans la hiérarchie des témoignages auprès des équipes médicales lorsque vous êtes dans l’incapacité de vous exprimer. Sabine Vanerp / Pixabay

La personne de confiance : cet accompagnant (mal connu) de la fin de vie

En France, il est possible de choisir un proche qui informera les soignants de nos décisions médicales si on n’est plus en mesure de le faire. Pourquoi ce dispositif n’est pas plus utilisé ?
Concernant les débats sur la fin de vie, les lycéens sont interpellés par des questions comme le rôle des familles dans le choix du patient, la capacité de discernement du patient. Shutterstock

Dans les débats sur la fin de vie, prendre en compte la voix des lycéens

Les 18-34 ans sont traditionnellement peu consultés sur les questions autour de la fin de vie. Ils ont pourtant des avis à partager sur le sujet, nous montre une consultation menée avec quatre lycées.
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« Controverses » : Fin de vie, la sienne et celle des autres, quels enjeux ?

Notre première série sur la « fin de vie » s’inscrit dans les débats qui agitent en ce moment la convention citoyenne. Derrière cette expression et son éventuel prolongement législatif, des propositions – suicide assisté, euthanasie, mort choisie – mais aussi des réalités difficiles à appréhender comme celle de la souffrance morale des personnes âgées.
Demander à une personne âgée de prendre une décision sur sa fin de vie n’est pas pour autant facile, y compris lorsque la famille et les personnels soignants paraissent avoir trouvé un accord. Spodzone / Visualhunt

Faire évoluer les conditions de la fin de vie ? Prenons le temps d’y travailler

Même si le droit à la fin de vie devenait une réalité juridique, d’autres défis à son application demeurent. Focus sur les directives anticipées : pourquoi sont-elles peu opérantes ?
En France, pour le moment, il n'y a pas en de vision commune qui soit structurée culturellement, sur le sujet de la fin de vie. Jr Korpa/Unsplash

Comment penser la mort en France ?

Les débats autour de l’aide active à mourir ouvrent une discussion plus large sur la mort.
Pour le personnel soignant, contribuer à donner la mort volontairement peut être éthiquement compliqué. David Werbrouck/Unsplash

La clause de conscience chez les professionnels de santé : quelle application pour la fin de vie ?

Dans le débat sur la fin de vie, ceux qui seraient amenés à mettre en œuvre l'aide active à mourir ne doivent pas être oubliés. Une clause de conscience spécifique pourrait-elle être instaurée ?
L’euthanasie est un acte ayant pour intention d’interrompre volontairement et médicalement une vie. Oleh Slepchenko/Shutterstock

Pourquoi se dirige-t-on vers une légalisation de l’euthanasie en France ?

Depuis plus de quarante ans, la France n'arrive pas à organiser une réflexion sur l'euthanasie à la hauteur des enjeux humains posés. Alors qu'un débat national va être lancé, ce temps est-il venu ?
De nouvelles études montrent que l’activité cardiaque ne se termine pas toujours quand la ligne à l’écran devient plate. Shutterstock

Quand une personne est-elle vraiment morte ? Interpréter la « ligne plate » n’est pas si simple

Une personne est-elle morte lorsque son cœur s’arrête de battre ? Il s’avère que la « ligne plate » classique de la mort n’est pas si simple.
Des employés de l'entreprise de Pompes funèbres Pueyo participent à la cérémonie d'enterrement - dont les proches sont exclus - d'un homme, considéré comme « indigent » au cimetière d'Aix-en-Provence, le 7 avril 2020. Clément Mahoudeau/AFP

L’anthropologie impliquée à l’hôpital en contexte d’épidémie de covid-19 pour accompagner les fins de vie et les décès hospitaliers

Voici comment des anthropologues ont contribué à relever le défi de la modification des pratiques habituelles d’accompagnement des fins de vie en milieu hospitalier en contexte de Covid-19.
Dans les résidences de soins de longue durée, 84% de ceux qui ont reçu de la documentation sur les choix à faire en fin de vie se sont sentis encouragés à en parler avec leurs familles. Shutterstock

Il faut savoir parler de la mort, avant de finir sa vie

Les personnes gravement malades et leurs familles veulent souvent se protéger mutuellement des pensées de mort. La conversation sur les choix de fin de vie est cependant essentielle à une bonne mort.
Jean Truchon, à droite, observe l'avocat Jean-Pierre Ménard réagir à la décision d'un juge du Québec d'infirmer, le 12 septembre 2019, des parties des lois provinciales et fédérales sur l'assistance médicale à la mort. La Presse Canadienne/Graham Hughes

Aide médicale à mourir: voici pourquoi il faut aller en appel

Un juge ne doit pas être autorisé à restreindre le pouvoir du Parlement de promouvoir des intérêts sociétaux plus larges et de protéger les personnes âgées, malades et handicapées.

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