Abelisaurs. Dessin d'Andrey Atuchin.
Nicholas Longrich
Les fossiles suggèrent que pas moins de trois espèces d'abélisauridés ont coexisté au Maroc il y a environ 66 millions d'années.
Le renouvellement faunique de la Grande Coupure. A gauche, les espèces européennes, à droite celles asiatiques.
Romain Weppe & Maëva Orliac
Saviez-vous que les animaux qui nous entourent aujourd’hui en Europe viennent majoritairement d’Asie ? Une nouvelle étude vient expliciter les mécanismes derrière cette évolution.
Un tibia d’Ornithomimosaure provenant du gisement d’Angeac-Charente, et une lame mince pour étudier les cernes de croissance dans la section de l’os.
@ Laurence Godart / DIM PAMIR / CNRS
Combien de temps vivaient les dinosaures ? À quel âge étaient-ils « adultes » ?
Le fossile original Cro-Magnon 1 et une image virtuelle montrant grâce à l'imagerie la moitié droite de l'endocrâne et la moitié gauche du crâne (le code couleur sur le crâne correspond à la variation d'épaisseur des os).
Antoine Balzeau CNRS/MNHN
Les tissus mous du cerveau ne fossilisent pas, il est donc nécessaire d’extrapoler pour obtenir des informations sur l’organe de nos ancêtres. Le fait-on correctement ?
Fou masqué sur l'île Sainte-Hélène.
© Anaïs Duhamel
Avec l’arrivée des humains sur l’île de Sainte-Hélène, l’écosystème a été totalement bouleversé. Une équipe de scientifiques tente de savoir quelles espèces d’oiseaux y vivaient.
Turbo parkisoni
@ Laurence Godart / DIM PAMIR / CNRS
Un beau coquillage, qui vivait sous les tropiques auprès de récifs coralliens, il y a 30 millions d’années… dans les Landes.
Représentation artistique de la morphologie et de l'environnement de vie des spécimens protistes étudiés faisant partie des « Gabonionta ».
A. El Albani
Une nouvelle étude vient rebattre les cartes de ce que nous savions de l’apparition des cellules eucaryotes.
Les deux sites de fouille : Ksar Akil (à gauche) et la Grotte Mandrin (à droite).
Reproduction photographique de Ksar Akil avec la permission du Peabody Museum, Harvard University, 998-27-40/14628.1.30.
La colonisation de l'Europe depuis l'Orient s'est faite en trois vagues. Ce que l'on pensait être la première était en réalité la dernière.
La fourmi Ectatomma sur une feuille d’Inga, Guyane.
Romain Garrouste, MNHN
Les plantes et les insectes ont évolué ensemble, s’adaptant les unes aux autres. Quoi de mieux des des mandibules géantes pour délicatement récolter du nectar ?
Une libellule-fleur sait voler de multiples façons. Neurothemis mâle, Parc National Sai Yok en Thaïlande.
Romain Garrouste, MNHN
Les libellules savent voler sur place et en arrière – ce n’est en général pas le cas des avions. D’où leur viennent ces capacités ?
Sauterelle Tettigonidae mimétique de feuille morte, en Guyane.
Romain Garrouste, MNHN
Les insectes utilisent des stratégies de protection depuis bien longtemps. Expédition dans le « Colorado niçois » aux origines du mimétisme.
Le crâne de Selam, Australopithecus afarensis.
Travis, Flickr
Le cerveau se développait-il aussi rapidement pendant la grossesse chez nos ancêtres que chez l’espèce humaine ? De nouveaux indices fossiles et in utero.
Tritylodon, un théropside, reconstitué comme un animal nocturne à sang chaud. Notez la vapeur qui sort de ses poumons.
Illustré par Luzia Soares
L’endothermie a probablement été l’une des clés du succès évolutif des mammifères et des oiseaux. Il est donc crucial de dater son origine.
L'équipe de recherche en train de mener des fouilles dans le bassin de Franceville au Gabon.
Abderrazak El Albani
Une équipe de recherche a mis au jour des traces d’organismes ayant vécu il y a plus de deux milliards d’années.
La position du cœur chez les poissons nous renseigne sur le développement… des poumons.
Des fossiles australiens de poissons à mâchoire permettre de mieux comprendre notre évolution.
Reconstruction de différents modes de locomotion dans le désert du Djourab (Tchad).
Sabine Riffaut, Guillaume Daver, Franck Guy / Palevoprim / CNRS – Université de Poitiers / MPFT
August 24, 2022
Jean-Renaud Boisserie , Université de Poitiers ; Andossa Likius , Université de N'Djamena (Tchad) ; Clarisse Nekoulnang Djetounako , Université de N'Djamena (Tchad) ; Franck Guy , Université de Poitiers ; Guillaume Daver , Université de Poitiers ; Laurent Pallas , Kyoto University ; Mackaye Hassane Taisso , Université de N'Djamena (Tchad) , and Patrick Vignaud , Université de Poitiers
Une toute nouvelle étude dévoile le mode de locomotion de nos très anciens ancêtres, des humains capables de marcher mais aussi d’évoluer dans les arbres.
Les moteurs thermiques peuvent être optimisés.
Alexander Popov/Unsplash
Si certaines pertes sont inhérentes au fonctionnement d’un moteur thermique, il serait possible de diminuer la consommation de carburant en réduisant les frottements des pièces du moteur.
Yves Coppens dans la Vallée de l'Omo en 1969.
International Omo Research Expedition/Jean Chavaillon
Les découvertes d’Yves Coppens au Tchad et en Éthiopie sont l’une des bases de notre compréhension de l’évolution humaine.
Dépôts sédimentaires abritant des fossiles de vertebrés continentaux à la localité de Büyükteflek, Turquie.
Alexis Licht et Grégoire Métais
Il y a environ 40 millions d’années, un continent a servi de pont pour la faune asiatique pour s’installer en Europe.
Reconstitution d'un groupe d'Elasmotherium dans leur environnement marécageux supposé proposée dès 1948 (par V. A. Vatagin, d'après le travail de V. A. Teryaev).
V. Zhegallo et al., 2005
Elasmotherium, un cousin des rhinocéros était surnommé la « licorne de Sibérie ». Cet animal avait-il vraiment une grande corne sur le front ?