Les applications de rencontre sont de plus en plus utilisées et offrent une multitude de choix. Mais face à tant d’options, certains utilisateurs peuvent se sentir dépassés et épuisés.
Depuis quelques années, le terme « non-binaire » a fait son entrée dans le langage courant. Quelles réalités cette nouvelle identité de genre recouvre-t-elle ?
Les féministes du XXIᵉ siècle sont parfois taxées d’extrémisme. L’Histoire nous montre que ce chiffon rouge est souvent agité notamment lors des débats sur l’accès des femmes à l’éducation secondaire.
Sarah Bernhardt, par son jeu d'actrice et sa personnalité, bouleversa le monde du théâtre. On lui reprochait son « manque de féminité » : elle en fit une force.
Les fantasmes liés à l’imaginaire du surf transforment la pratique en compétition, contraignent les corps et reconduisent des stéréotypes de genre souvent caricaturaux.
L’engagement en faveur des causes animales et les marques d’empathie envers les animaux semblent factuellement beaucoup plus féminins que masculins. Mais s’agit de rôles acquis socialement ?
L’explication de la dégénérescence du chromosome Y passionne les généticiens. Une nouvelle théorie a récemment vu le jour, inversant les relations de causalité précédemment envisagées.
La testostérone est une hormone produite à fois chez les hommes et les femmes. Les hommes en produisent plus, mais cela ne signifie pas forcément qu’ils sont toujours plus forts que les femmes.
Une étude montre qu’elles pensent, à tort, ne pas pouvoir obtenir certains postes. Cela a trait à toute une culture d’entreprise qui rend peu satisfaisant l’argument de l’absence de candidates.
Le transhumanisme signifie-t-il la fin de la reproduction sexuée ? Quelles conséquences pour les genres ? L’essor des machines ouvre de nombreuses questions sur le devenir des sexualités.
L’individualisme moderne, qui recherche la liberté, nous fait oublier que nous sommes des corps et le fruit d’une relation qui constitue un point de départ de la vie collective.
Yin et yang ne sont pas superposables à « femme » et « homme », puisque nous portons toutes et tous en nous, quel que soit notre sexe, les deux sexualités.
La pensée occidentale a forgé une manière de considérer la « virilité », qui ne sera plus l’apanage des mâles, mais un « volontarisme » à l’égard de la nature, tout autant féminin que masculin.
La présupposition contemporaine du contrôle de la nature par les technologies a tendance à nous faire oublier que nous sommes, femmes et hommes, faits de féminin et de masculin.
Intégrer des femmes dans les équipes de développement pourrait permettre une IA plus égalitaire, moins sujette aux stéréotypes de genre que nous lui transmettons et qu’elle perpétue.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Primatologue, Maitre de Conférence du Muséum National d'Histoire Naturelle au Musée de l'Homme et Vice-President de la Société Francophone de Primatologie (SFDP), Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)