Les investisseurs semblent aujourd’hui dans l’expectative sur le marché du Brendt, dans l’attente de connaître l’ampleur d’une éventuelle contagion géopolitique du conflit israélo-palestinien.
Emmanuel Hache, IFP Énergies nouvelles ; Pauline Bucciarelli, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières, and Valérie Mignon, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
La proposition formulée récemment par l’Indonésie pourrait notamment se heurter à l’hétérogénéité des politiques de production des pays producteurs et à la place des acteurs étrangers.
Le président américain s’est résolu à se rendre à Riyad dans l’espoir d’obtenir des avancées sur les questions énergétiques et sécuritaires. Sans succès.
Le nucléaire civil est fréquemment présenté comme épargné par les risques géopolitiques. Mais l’actualité et les reconfigurations de la filière révèlent les limites de cette analyse.
L’explosion des tarifs du gaz et des carburants risque d’accroître encore les inégalités socioéconomiques déjà exacerbées par deux années de crise sanitaire. Quelles sont les réponses possibles ?
Le contexte appelle l’UE à changer de stratégie, en mettant par exemple en place des contrats d’approvisionnement en gaz à long terme et conclure des alliances avec les pays exportateurs.
Cette tension sur les prix agricoles intervient dans un contexte déjà fragilisé par la pandémie. Portée par les dérèglements climatiques, elle souligne la nécessité de développer l’agroécologie.
La crise climatique est un enjeu majeur des élections fédérales. Mais le Canada a d’énormes défis devant lui s’il veut atteindre ses objectifs de décarbonations de son économie.
Victime d’une perception déformée par les conflits de mémoire entre la France et l’Algérie, cette étape a pourtant permis de transformer la domination en coopération.
La géopolitique de l’océan Indien est en mutation, notamment du fait de la découverte d’un immense gisement de gaz dans le Canal du Mozambique et de la montée de la menace djihadiste.
Valérie Mignon, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Le marché se caractérise aujourd’hui par une demande atone qui se double d’un excès d’offre lié à la situation géopolitique, aux limites des capacités de stockage et à la spéculation.
La crise économique mondiale et la saturation des capacités de stockage américaines expliquent pourquoi les prix sont entrés en territoire négatif en début de semaine.
Au siècle dernier, plusieurs pays d’Amérique du Sud ont connu des coups d’État, des dictatures militaires et des soulèvements. Malgré une situation économique améliorée, le continent reste instable.
L’attaque des installations de la compagnie saoudienne Aramco, le 14 septembre, ne devrait pas conduire à une hausse des prix à court terme. Explications.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)