Menu Close

Articles on papillomavirus humain (HPV)

Displaying all articles

La vaccination contre les papillomavirus pourrait faire reculer plusieurs cancers qui affectent non seulement les femmes, mais aussi les hommes. Shutterstock

Papillomavirus et cancers : les éléments pour comprendre la campagne de vaccination dans les collèges

Le cancer du col de l’utérus résulte de l’infection par certains papillomavirus humains. Une couverture vaccinale suffisante permettrait d’éradiquer la maladie, et de faire reculer d’autres cancers.
Debbie Frier, infirmière diplômée, injecte à Leah Sawatsky, infirmière des urgences, à droite, le vaccin Pfizer-BioNTech contre la COVID-19 au Regina General Hospital de Regina, le 15 décembre 2020. La Presse Canadienne/Michael Bell

La statistique de l’année : 332

Le vaccin contre la Covid-19 a été mis au point en un temps record. Seulement 332 jours se sont écoulés entre le séquençage du génome du virus et l’administration des premiers vaccins. Du jamais vu.
Le préservatil reste la solution la plus fiable pour se protéger des IST. Claudia van Zyl/Unsplash

Retour des infections sexuellement transmissibles : vers une épidémie de l’ampleur du sida ?

Chlamydioses, gonorrhée, syphilis… Le retour en force des infections sexuellement transmissibles pourrait préfigurer une épidémie d’ampleur. Comment en est-on arrivé là, et comment se protéger ?
Les cellules infectées par le papillomavirus changent de structure et peuvent devenir cancéreuses. Shutterstock

Papillomavirus : pourquoi le vaccin est recommandé aux garçons aussi

Pourquoi étendre la vaccination contre les papillomavirus aux garçons ? Parce que ces virus n’affectent pas que les femmes, il provoque également des cancers chez les hommes.
La vaccination permet de protéger les plus vulnérables. Shutterstock

Vaccination : pourquoi tant de défiances ?

La vaccination a constitué une avancée majeure en termes de santé publique. Pourtant, en Occident, une partie croissante de la population la remet en question. Retour sur les causes de ce scepticisme.
Le gouvernement veut rendre les vaccins obligatoires entre l'âge de zéro et deux ans. Shutterstock

Vaccins : tout ne se joue pas avant deux ans

Quand l'obligation vaccinale sera en vigueur pour les enfants de moins de deux ans, il faudra prendre en compte le risque que la vaccination soit négligée chez les enfants plus âgés et les adultes.
Les infections que nous avons contractées durant l'enfance et à l'âge adulte peuvent, selon les cas, minorer ou majorer le risque de cancer. Shutterstock

Certaines infections jouent un rôle protecteur vis-à-vis du cancer

De nombreuses infections sont connues pour augmenter le risque de cancer. On sait moins que d’autres, à l’inverse, renforcent le système immunitaire et réduisent ce risque.
Vaccination d'un nourrisson (photo d'illustration). De Africa studio/Shutterstock

Enseignants-chercheurs en médecine générale : « L’obligation vaccinale est une mauvaise solution »

Rendre 11 vaccins obligatoires chez l'enfant n'est pas un moyen efficace d'augmenter la couverture vaccinale en France. D'autres mesures permettraient de l'obtenir en restaurant la confiance.
Les jeunes filles peuvent être vaccinées contre le papillomavirus humain à partir de 11 ans. James Gathany/ Wikimedia Commons

Faut-il avoir peur des vaccins ?

Le vaccin contre le cancer du col de l’utérus provoquerait de graves effets secondaires. Un rapport indépendant montre qu’il en est rien. Mais en matière de vaccination, le risque zéro n’existe pas.

Top contributors

More