Une étude suggère une classification des pays en fonction de leur endettement et de leur exposition aux risques environnementaux pour adapter les outils financiers au cas par cas.
Les politiques d’atténuation et d’adaptation visent un même objectif : réduire les pertes humaines et matérielles du changement climatique. Mais elles apparaissent également en opposition.
Le secteur s’est fortement internationalisé depuis le début des années 2000, à la fois en termes de production et de vente. Ces interdépendances ont cependant fragilisé la filière.
Contrairement à de nombreux prêteurs internationaux, Pékin prévoit des rééchelonnements de dette mais jamais de réduction faciale du montant à rembourser pour les pays en crise.
Le sommet pour un « nouveau pacte financier mondial », vise à répondre aux besoins des pays les plus vulnérables face au dérèglement climatique, pays qui sont aussi les plus endettés.
Un travail de recherche en République démocratique du Congo met en lumière le rôle essentiel des pratiques de gestion dans la qualité des soins dispensés aux populations les plus défavorisées.
Régis Marodon, Agence française de développement (AFD)
Respecter les engagements d’aide climatique pris au bénéfice des pays les plus pauvres ne pourrait-il pas aller de pair avec le verdissement chaque année de 2 % des actifs financiers mondiaux ?
Des initiatives, promues notamment par le FMI et la Banque mondiale, tentent de stimuler les appétits des investisseurs privés pour les « green bonds ».
Parmi les facteurs avancés pour expliquer les inégalités par les économistes du développement, on retrouve notamment les institutions, la confiance, l’histoire et la géographie.
Des millions d’êtres humains ont cruellement faim et leurs droits fondamentaux sont bafoués. L’aide alimentaire est nettement insuffisante. Tous les ingrédients sont réunis pour une crise majeure.
Manque d'accompagnateurs formés, soutiens de l'État absents ou mal indiqués, il y a de quoi rapidement doucher l'enthousiasme de qui veut saisir les opportunités offertes par la transition verte.
L’aide apportée aux victimes de catastrophes humanitaires est dans une large mesure l’affaire des ONG occidentales. Ces dernières doivent évoluer pour mieux répondre aux besoins des acteurs locaux.
La numérisation du secteur financier se déroule à grande vitesse en Afrique. Des multinationales y installent de grands bureaux et des sociétés locales spécialisées y éclosent.
Déjà en manque de moyens pour décarboner leur industrie ou se tourner vers des alternatives plus vertes, ils pourraient en plus être privés des revenus tirés des exportations vers l’Europe.
Thomas Burelli, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Alexandre Lillo, Université du Québec à Montréal (UQAM); Alycia Leonard, University of Oxford; Elie Klee, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Erin Dobbelsteyn, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Justine Bouquier, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa, and Lauren Touchant, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
L’accord historique pour le financement des pertes et préjudices a été éclipsé par l’absence de progrès dans l’élimination progressive des énergies fossiles.
Doctorant en droit international public, coordinateur du Centre du droit de l'environnement et de la durabilité mondiale de l'Université d'Ottawa, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Professeur de stratégie - Titulaire de la Chaire Bouygues-HEC Paris "Smart city et Bien commun" - Membre de l'Institut SnO (Société et Organisations), HEC Paris Business School
Professeur en droit, Section de droit civil, Université d’Ottawa (Canada), membre du Conseil scientifique de la Fondation France Libertés, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa