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Articles on prénoms

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« Gender fluid », « non-binaires », « queer » ou bien encore « genre ». La palette des auto-determinations de genre augmente progressivement, jusqu’à épouser des formes jusque-là inconnues. Polina Tankilevitch/Pexels

Les adolescents et les jeunes adultes face à leur identité de genre

« Gender fluid », « non binaires », « queer »… La palette des autodéterminations de genre augmente progressivement parmi les jeunes générations. Décryptage.
Les parents choisissent tous un prénom qu’ils veulent tout aussi unique que leur enfant. (Minnie Zhou | Unsplash)

Prénoms : pourquoi choisissons-nous tous les mêmes ?

Les prénoms choisis pour nos enfants suivent les tendances, comme toute autre expression culturelle. C’est une question de goût, mais aussi de changements sociaux.
Les risques de discrimination sont plus élevés quand le recrutement en master relève d'un seul responsable plutôt que d'une procédure collective. Shutterstock

En master, des candidats discriminés sur leurs noms de famille

Si le débat public sur les discriminations subies par les jeunes se focalise souvent sur l’accès à l’emploi, ces discriminations commencent dès la formation, comme le montre une récente étude.
Si des prénoms rares et choisis dans des contextes circonstanciels, comme l'actuelle pandémie, peuvent nous paraître étranges, incongrus, voire indécents, il ne s'agit pas d'un acte irréfléchi. Shutterstock

Lockdown, Corona, Covid-Marie… Que penser des prénoms de la pandémie ?

Même si certains prénoms peuvent paraître étranges ou saugrenus, ils revêtent toujours une signification et transmettent un message qui s’inscrit dans un contexte et des cultures.
Les capitouls de Toulouse en 1440-1441. Chronique 135 de l'année 1440-1441 : la porte de Pouzonville. Feuillet parchemin, latin, 26,5 x 38 cm. Ville de Toulouse, Archives municipales, BB273/9.

Vu du Moyen Âge: Quand les Kévin s'appelaient Jean, ou ce que nos prénoms disent de nous

En fonction des époques et des moments, le prénom « Jean » est porté par 20 à 25 % de la population masculine au Moyen Âge, voire parfois jusqu'à 40 %. Soit 1 garçon sur 3 !
Qui est qui ? Gonzalo Arnaiz/Unspash

Êtes-vous à la hauteur de votre prénom ?

Huit études montrent que des participants confrontés à des portraits (de type photo d’identité) de personnes qu’ils n’ont jamais rencontrées sont capables de reconnaître le prénom de cette personne.

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