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Articles on assouplissement quantitatif

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Les banques centrales comme la BCE (photo) ne contrôlent aujourd'hui qu'indirectement le volume de monnaie en circulation qui entraîne la hausse des prix. Wikimedia commons

Inflation ou hausse des taux ? Le dilemme des banques centrales n’a rien d’inéluctable…

Depuis les années 1930, de nombreux économistes appellent à ne plus conditionner l’émission de monnaie à la demande de prêts des banques commerciales pour renforcer le pouvoir de l’autorité monétaire.
Pourquoi les théories économiques qui tendent à conférer aux banquiers centraux un plus grand pouvoir d’intervention restent-elles vacillantes ? Daniel Roland / AFP

Bonnes feuilles : « Déclin et chute du néolibéralisme »

Monnaie « hélicoptère », annulation des dettes publiques… Pourquoi les approches monétaires hétérodoxes ne parviennent-elles pas à remplacer la doxa monétariste ?
Depuis le début de l’année, la valeur de l’euro s’est dépréciée d’environ 9 % par rapport à la devise américaine. Philippe Huguen / AFP

L’affaiblissement de l’euro face au dollar, une tendance qui s’annonce durable

Les différents rythmes d’inflation des deux côtés de l’Atlantique et les réponses monétaires envisagées face à la hausse des prix devraient entretenir la dépréciation de la devise européenne.
Nous ne sommes pas tous égaux en matière de souplesse… Ernesto Velázquez / Unsplash

Plier mais ne pas rompre : les secrets de la souplesse

La souplesse n'est pas une aptitude également partagée… Ce qui n'empêche pas de la travailler ! Massages, étirements, pilates sont autant de techniques capables de l'améliorer, en tout confort.
L’institution Francfort doit réviser sa stratégie d’ici mi-2021. L’occasion d’intégrer les impératifs climatiques dans son action ? Inter reality / Shutterstock

Comment la BCE peut (enfin) verdir sa politique monétaire

Sans outrepasser les règles qui fixent son mandat, la Banque centrale européenne dispose d’un ensemble de leviers pour contribuer à atteindre l’objectif européen de neutralité carbone d’ici 2050.
Le bilan de l’institution atteint aujourd’hui les 6 800 milliards d’euros, l’équivalent de 60 % du PIB de la zone euro. Yann Schreiber / AFP

Que se passerait-il si la BCE annulait la dette publique qu’elle détient ? Conversation avec Jézabel Couppey-Soubeyran

En réponse à la crise, la banque centrale européenne a accéléré son programme de rachat de dettes en portant son montant à 1 850 milliards d’euros le 10 décembre dernier.
Certains emprunteurs ont profité de la baisse des taux pour renégocier leur crédit et économiser sur leurs mensualités. FuFu Wolf / Flickr

La politique de la BCE favorise-t-elle les riches ?

Un rapide calcul montre que l’expansion monétaire aurait généré un surplus de revenus trois fois plus important pour les ménages les plus aisés que pour les plus pauvres.
Les programmes d’assouplissement quantitatif (quantitative easing) ont davantage bénéficié aux détenteurs d’actifs qu’à l’économie réelle ces dernières années. Anikin Denis / Shutterstock

Les politiques des banques centrales portent le risque d’épuisement de la croissance et de creusement des inégalités

Les injections massives de liquidité ne déboucheront pas sur une résurgence de l’inflation mais sur une baisse durable de la croissance et un creusement des inégalités.
La banque centrale européenne, en charge de la politique monétaire de la zone euro, a pour objectif principal de maintenir le pouvoir d'achat et donc la stabilité des prix. Didier Weemaels / Unsplash

L’euro, un rempart contre l’hyperinflation

La zone monétaire a permis ces dernières années aux États membres les plus endettés d’éviter de sombrer des scénarios à la vénézuélienne.
L’accélération du programme de quantitative easing portera le bilan de la BCE à près de 6 500 milliards d’euros fin 2020. Yann Schreiber / AFP

Sortie de crise : jusqu’où pourra aller la BCE ?

La poursuite du programme de rachat de dettes de la banque centrale pourrait à terme aggraver les inégalités, conduire au défaut de certains pays voire mener à l’éclatement de la zone euro.
Le 19 mars dernier, les autorités monétaires européennes ont annoncé l'injection de 750 milliards d'euros de liquidités pour soutenir l'économie. Daniel Roland / AFP

Et si le quantitative easing se mettait au service du plus grand nombre ?

Ces dernières années, les plans d’assouplissement quantitatif ont intensifié la financiarisation de l’économie européenne. La crise actuelle pourrait donc constituer l’occasion de recibler le soutien.

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