Les sels de lithium, utilisés notamment dans le traitement des troubles bipolaires, ont un effet antiviral et anti-inflammatoire.
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Être atteint de pathologie mentale multiplie les risques face au Covid. Or des études démontrent que les médicaments psychorégulateurs au lithium offrent une certaine protection face au SARS-CoV-2.
Les vaccins conçus contre le virus de la variole (smallpox) offrent une certaine protection contre la variole du singe.
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Si la variole a été éradiquée en 1980 grâce à la vaccination, des maladies proches circulent toujours comme la variole du singe. Quels vaccins et traitements a-t-on ? Quelles sont leurs limites ?
Éponges, poissons, champignons filamenteux, algues… synthétisent des molécules aux nombreux intérêts thérapeutiques : anticancéreux, antiviraux, etc.
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La biodiversité marine est sous-estimée, comme son potentiel thérapeutique. Mais les choses changent : 17 médicaments (anticancéreux…) ont déjà été tirés des mers, 30 autres sont en essais cliniques.
Si les vaccins n’ont pas permis d’arrêter la transmission du SARS-CoV-2, ils restent néanmoins aujourd’hui encore la meilleure arme dont nous disposions pour lutter contre les formes sévères de Covid-19.
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Depuis début février, un premier antiviral anti-Covid-19 est autorisé en France sur prescription médicale : le Paxlovid de Pfizer. D’autres pourraient suivre, selon les résultats des essais cliniques.
Les recherches sur les antiviraux contre le coronavirus SARS-CoV-2 se poursuivent.
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Qu’il s’agisse de tester le potentiel anti-SARS-CoV-2 de molécules utilisées dans d’autres contextes médicaux ou de mettre au point des thérapies antivirales spécifiques, où en sont les recherches ?
La piqure pour bientôt ?
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Trouver des médicaments qui traitent le coronavirus Covid-19 pourrait s’avérer tout aussi important que de développer un vaccin. Mais il est difficile de créer des antiviraux efficaces.
Qu'il s'agisse de combattre la grippe, l'herpès ou le virus du sida, les antiviraux agissent en bloquant la réplication du micro-organisme. D'où l'intérêt d'un usage précoce, avant leur dissémination.
Épidémiologiste et biostatisticienne, directrice adjointe de l'Institut Pierre Louis d’Épidémiologie et de Santé Publique (Sorbonne Université/Inserm), directrice de recherches, Inserm
Professeur de Psychiatrie, Directeur du Département Médico-Universitaire de Psychiatrie et d’Addictologie des Hôpitaux Henri Mondor, AP-HP, Université Paris Est Créteil (UPEC), Inserm