Comme dans tous les autres domaines, la qualité et la précision de l’expression orale et écrite, en sciences, impactent la transmission des idées et le raisonnement. En tenons-nous suffisamment compte ?
CRESST (Cryogenic Rare Event Search using Superconducting Thermometers) est une expérience de recherche de particules de matière noire au LNGS (laboratoire souterrain du Gran Sasso, Italie)
CREEST
La matière noire est encore mystérieuse ; pourtant, elle serait six fois plus présente que la matière « ordinaire ». Plusieurs laboratoires dans le monde cherchent à percer ce mystère.
La mission XRISM de l'agence spatiale japonaise doit observer les rayons X émis par des sources cosmiques - et pour la première fois, déceler les différentes « couleurs » de ces rayons.
Euclid va séjourner dans l’espace à côté du télescope spatial James-Webb et de la sonde Gaia, au point de Lagrange 2, qui permet d’être relativement abrité des rayonnements du Soleil.
ESA. Acknowledgement: Work performed by ATG under contract for ESA
André Debus, Centre national d’études spatiales (CNES)
Le nouvel observatoire Euclid, lancé ce 1ᵉ juillet, va étudier la matière sombre et l’énergie noire, pour tenter de comprendre l’expansion de l’univers.
Une nuit étoilée défile sous nos yeux… Cependant le fond de ciel est bel et bien noir. Ou l'est-il vraiment ?
pxhere.com
Découvrez le paradoxe d’Olbers : si notre univers est infini alors il devrait y avoir une infinité d’étoiles, donc la nuit, le ciel devrait être brillant.
Pourquoi n'y a-t-il d'ouragan hexagonal que sur Saturne (à notre connaissance) ?
NASA/JPL-Caltech/SSI/Hampton University
Le pôle nord de Saturne est envoûtant, avec un ouragan hexagonal qui tourne doucement. Plongée en astrophysique des fluides.
La fin de vie spectaculaire de cette étoile atteint des proportions cosmiques: la nébuleuse fait environ 1,4 année-lumière de diamètre, soit 600 fois la distance qui nous sépare de la sonde Voyager 1 — l’objet le plus lointain de la Terre jamais envoyé par l’Homme. Ici, elle est imagée par les instruments du télescope spatial James-Webb.
NASA
Une dentelle de gaz et de poussière, observée par le télescope spatial James-Webb, révèle qu’un quatuor d’étoiles est l’ancêtre de cette « nébuleuse de l’Anneau austral ».
L'univers est en expansion, indéfiniment ?
Lidiia/Shutterstock
La découverte de l’expansion de l’univers a été rendue possible lorsque les astronomes furent capables de mesurer séparément la distance d’objets célestes lointains et leur vitesse.
De plus en plus de missions spatiales ciblent les astéroïdes. Parmi leurs buts : mieux comprendre la formation du système solaire et déterminer comment les repousser.
Illustration d'un trou noir.
Skorzewiak/Shutterstock
Depuis quelques années, l’astronomie est en mesure d’étudier l’univers à travers quatre biais différents, ce qui permet de compléter notre vision des mécanismes physiques en jeu.
Les miroirs du James Webb Space Telescope, en plein test de résistance au froid.
Ball Aerospace/NASA's James Webb Space Telescope/flickr
Destiné à scruter le cosmos, le James Webb Space Telescope est enfin prêt à prendre son envol. Retour sur la genèse et les buts de ce projet hors norme.
Le système planétaire Trappist-1, avec ses sept petites planètes, est une des cibles de choix du nouveau télescope Webb. Ici, deux des planètes sont vues en transit devant leur étoile, l'occasion d'en apprendre plus sur elles.
NASA/JPL-Caltech
Les instruments du télescope spatial James-Webb vont permettre d’étudier les atmosphères de planètes hors de notre système solaire, notamment pour y chercher des traces de vie.
Le James Webb Space Telescope plié dans la fusée Ariane 5 qui partira de Kourou, vue d'artiste. Le lancement est prévu pour le 22 décembre 2021.
ESA / D. Ducros
Le JWST est replié dans Ariane 5. Avant de nous envoyer ses premières données scientifiques, il va se déployer dans l’espace et être testé pour s’assurer que ses instruments fonctionnent.
L'immense miroir du James Webb Space Telescope ne rentre pas dans une fusée. Il faut le replier, puis le déplier une fois dans l'espace.
NASA/Chris Gunn
Plus de 1 200 scientifiques de 14 pays ont participé à la construction du Webb. À quoi va-t-il servir ? Pourquoi un tel coût, et d’où viennent les retards ?
Chercheur CNRS à l'Observatoire de Paris, au laboratoire LESIA qui est labellisé Domaine d'Intérêt Majeur ACAV+ par la Région Ile-de-France, Observatoire de Paris