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Articles on Bachar Al-Assad

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Bachar Al-Assad au centre de la « photo de famille » d’un sommet de la Ligue arabe en 2009. Une image que l’on reverra dans les tout prochains jours… Marwan Naamani/AFP

Bachar Al-Assad à la Ligue arabe : le retour du pestiféré syrien sur la scène internationale

Après onze ans de suspension, la Syrie vient d’être réintégrée à la Ligue arabe. Pour cette influente organisation régionale, Bachar Al-Assad n’est plus un paria.
Bachar Al-Assad à l’Élysée le 9 décembre 2010. Le président syrien avait été traité en paria pendant plusieurs années auparavant, pour son rôle supposé dans l’assassinat en 2005 du premier ministre libanais Rafic Hariri. Il le sera de nouveau à partir de 2011. Franck Fife/AFP

Qui sont les « infréquentables » sur la scène internationale ?

Bachar Al-Assad, Kim Jong‑un, Vladimir Poutine aujourd’hui, Mouammar Kadhafi, Fidel Castro et bien d’autres hier : de nombreux infréquentables deviennent un jour fréquentables, et inversement.
Dan Stoenescu, chef de la délégation de l’UE pour la Syrie, lors d’un déplacement sur les territoires contrôlés par le régime de Damas, effectué à bord d’un avion du Programme alimentaire mondial, le 8 août 2022. Dan Stoenescu/Facebook

L’Union européenne en Syrie : un discours trop complaisant ?

Au nom de la volonté de contribuer à la reconstruction de la Syrie, l’UE est-elle en train de réhabiliter Bachar Al-Assad ?
Un véhicule de l'armée russe faisant partie d'une patrouille, passe devant un champ de pétrole près de la ville d'al-Qahtaniyah, dans la province de Hasakeh (nord-est de la Syrie), le 11 octobre 2020. Delil Souleiman/AFP

Bonnes feuilles : « La Syrie au-delà de la guerre. Histoire, politique, société »

La proximité entre Damas et Moscou, qui remonte à la guerre froide, s’est dernièrement muée en une véritable relation de vassalité.
Pour les habitants de la province d'Idlib, le guerre est tout sauf terminée : les bombardements du régime ont repris depuis plusieurs mois, engendrant de nombreuses victimes civiles, comme ici, à Serja, le 17 juillet dernier. Abdulaziz Ketaz/AFP

Syrie : une stabilisation en trompe-l’œil

Alors que Bachar Al-Assad vient d’être réélu président, l’illusion de stabilité du pays cache mal un chaos généralisé, susceptible de dégénérer à court terme.
Un combattant des forces rebelles syriennes soutenues par la Turquie tient une peluche dans la ville de Saraqib, province d'Idlib, le 27 février 2020. Bakr Alkasem/AFP

Idlib : vers un rapprochement entre la Turquie et les États-Unis ?

L’offensive syrienne sur la poche d’Idlib a forcé la Turquie à se tourner vers Washington et vers l’OTAN. L’alliance d’Ankara avec les forces occidentales reste toutefois fragile.
vladm/shutterstock

Bonnes feuilles : Le désastre syrien

La politique française vis-à-vis du monde arabe se caractérise par une grande inconséquence. On l’a notamment vu à la lumière de l’attitude de Paris sur le dossier syrien.
A Khan Cheikhoun, dans la province d'Idlib, le 26 février 2019: un homme tient la dépouille de sa fille tuée dans un bombardement des forces pro-Assad. Anas Al-Dyab / AFP

Débat : En Syrie, le silence ne doit pas recouvrir les crimes commis à Idlib

Renoncer signifie que nous accordons au régime d’Assad et à la Russie une victoire stratégique, mais aussi intellectuelle dont les conséquences seront incalculables en termes de sécurité mondiale.
Évacuation de la Ghouta, dans les faubourgs de Damas, le 3 avril 2018. Louai Beshara/AFP

Syrie : penser après Homs, Alep, Idlib, la Ghouta…

La faculté qui est désormais donnée d’accomplir le crime en le donnant à voir de manière immédiate, comme en Syrie depuis 2011, corrompt notre faculté de penser.
L'homme d'affaires Mohammed Mohiedin Anis. 70 ans, fume sa pipe, assis dans sa chambre et écoutant un vinyle. La photo, prise en 2013 à Alep, dans l'ancien quartier rebel al-Shaar, a fait le tour du monde. Joseph Eid/AFP

Syrie : quelle reconstruction possible sous le régime Assad ?

Le maintien du régime de Bachar Al-Assad semble plus assuré que jamais, utilisant les projets de reconstruction du pays à ses propres fins.
Le président Emmanuel Macron, lors d'une visite le 20 juillet 2017, à la base aérienne 125 Istres-Le Tubé. Anne-Christine Poujoulat/AFP

La France et la Syrie : onze questions pour l’action

Que faire en Syrie ? Assad doit-il partir ? Une intervention militaire sans mandat de l’ONU serait-elle responsable ? Voici onze questions qui permettent de mieux appréhender la situation.
Emmanuel Macron et Vladimir Poutine au G20 de Hambourg, le 9 juillet 2017. Kremlin.ru/Wikimedias

Macron, la Syrie et Poutine : enjeux et doubles-fonds

La toile de fond des déclarations du Président Macron demeure éminemment libérale : défense du multilatéralisme, de l’Europe, d’agendas de sécurité humaine ou du libre-échange.
Une vue sur Alep, le 9 décembre 2016. George Ourfalian/AFP

Les impasses occidentales en Syrie

La débâcle est là. Les vieilles puissances se retrouvent au rang de spectateurs impuissants, badauds diplomatiques d’une des crises les plus aiguës de la scène internationale d’après-guerre.
Ruines du village de Teir Maalah, au nord de Homs, le 20 avril 2016. Mahmoud Taha/AFP

Résoudre le chaos syrien

Aucune réunion internationale ne résoudra, à elle seule, le problème syrien. La solution viendra de l’intérieur, en s’appuyant sur la base locale.
Bachar al-Assad reçu au Kremlin par Vladimir Poutine le 20 octobre 2015. Alexeï Druzhinin/AFP

L’intervention russe en Syrie : mission accomplie ?

L’annonce du retrait (partiel) des troupes russes de Syrie a pris par surprise les observateurs. L’heure d’une première évaluation d’une action militaire aux objectifs multiples.

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