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Articles on Banque centrale européenne (BCE)

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L'évolution des taux d'intérêt de la BCE a des effets sur l'ensemble de l'économie, dont la production laitière. Shutterstock

Le prix de votre brique de lait dépend aussi… de la BCE

Comment la fixation des taux par le conseil des gouverneurs de la banque centrale se répercute-t-elle jusque sur les prix à la consommation ? Explications.
Les banques centrales, comme la BCE dirigée par Christine Lagarde, doivent tenir compte de la façon dont les agents économiques prêtent attention aux informations qu’elles diffusent pour améliorer l’efficacité de leur politique monétaire. John MacDougall / AFP

La communication des banques centrales peine encore à influencer les acteurs économiques

Une recherche montre que la BCE et la Fed, qui multiplient les explications publiques ces dernières années, ne parviennent pas à retenir l’attention de manière optimale.
L’institution Francfort doit réviser sa stratégie d’ici mi-2021. L’occasion d’intégrer les impératifs climatiques dans son action ? Inter reality / Shutterstock

Comment la BCE peut (enfin) verdir sa politique monétaire

Sans outrepasser les règles qui fixent son mandat, la Banque centrale européenne dispose d’un ensemble de leviers pour contribuer à atteindre l’objectif européen de neutralité carbone d’ici 2050.
Le bilan de l’institution atteint aujourd’hui les 6 800 milliards d’euros, l’équivalent de 60 % du PIB de la zone euro. Yann Schreiber / AFP

Que se passerait-il si la BCE annulait la dette publique qu’elle détient ? Conversation avec Jézabel Couppey-Soubeyran

En réponse à la crise, la banque centrale européenne a accéléré son programme de rachat de dettes en portant son montant à 1 850 milliards d’euros le 10 décembre dernier.
Certains emprunteurs ont profité de la baisse des taux pour renégocier leur crédit et économiser sur leurs mensualités. FuFu Wolf / Flickr

La politique de la BCE favorise-t-elle les riches ?

Un rapide calcul montre que l’expansion monétaire aurait généré un surplus de revenus trois fois plus important pour les ménages les plus aisés que pour les plus pauvres.
Les programmes d’assouplissement quantitatif (quantitative easing) ont davantage bénéficié aux détenteurs d’actifs qu’à l’économie réelle ces dernières années. Anikin Denis / Shutterstock

Les politiques des banques centrales portent le risque d’épuisement de la croissance et de creusement des inégalités

Les injections massives de liquidité ne déboucheront pas sur une résurgence de l’inflation mais sur une baisse durable de la croissance et un creusement des inégalités.
Avec la pandémie, les banques pourraient être tentées de réduire leurs marges de sécurité. Witthaya lOvE / Shutterstock

Face à la crise économique, faut-il assouplir la réglementation bancaire ?

Les mesures mises en place compliquent l’identification des risques qui pèsent réellement sur les établissements.
Les banques ne s’étaient pas préparées à un choc comparable à celui du Covid-19 qui pourrait mener à une crise d’insolvabilité en cas de défaut significatif des emprunteurs, comme en 2008 avec Lehman Brothers. Tania Kitura / Shutterstock

La crise sanitaire va-t-elle générer une nouvelle crise bancaire ?

Le Covid-19 met à l’épreuve les réformes bancaires entreprises à la suite de la crise de 2008 et révèle la fragilité des dispositifs prudentiels comme des mécanismes de résolution européens.
La banque centrale européenne, en charge de la politique monétaire de la zone euro, a pour objectif principal de maintenir le pouvoir d'achat et donc la stabilité des prix. Didier Weemaels / Unsplash

L’euro, un rempart contre l’hyperinflation

La zone monétaire a permis ces dernières années aux États membres les plus endettés d’éviter de sombrer des scénarios à la vénézuélienne.
La volonté de combattre le virus « quoi qu’il en coûte » énoncée par le président de la République Emmanuel Macron dans son allocution télévisée du 12 mars dernier, un révélateur du « moment keynésien » actuel. Denis Charlet / AFP

Relance économique : sommes-nous vraiment tous devenus keynésiens ?

Dans les travaux de l’économiste anglais, la politique budgétaire ne se réduit pas à un outil de dernier recours en période de crise.
L’accélération du programme de quantitative easing portera le bilan de la BCE à près de 6 500 milliards d’euros fin 2020. Yann Schreiber / AFP

Sortie de crise : jusqu’où pourra aller la BCE ?

La poursuite du programme de rachat de dettes de la banque centrale pourrait à terme aggraver les inégalités, conduire au défaut de certains pays voire mener à l’éclatement de la zone euro.
Siège de la Banque centrale européenne, Francfort, le 24 avril 2020. Yann Schreiber / AFP

Le débat monétaire sera-t-il déconfiné ?

À trop souligner le caractère inédit de la crise, on risque de négliger combien elle ramène à la centralité du capital privé dans le financement des politiques publiques.
Face à la récession qui s'annonce, la BCE présidée par Christine Lagarde (photo), comme la Fed, comptent augmenter le volume des rachats de dettes publiques et privées. John Thys / AFP

Les banques centrales prennent le risque d’une « zombification » de l’économie

La relance des programmes d’assouplissement quantitatif pourrait conduire à un financement des entreprises les plus fragiles au détriment de l’investissement dans les plus innovantes.
La distribution directe d'argent aux ménages à été théorisée par l'économiste libéral américain Milton Friedman en 1970. Peter Griffin

L’hélicoptère monétaire, le dernier recours des politiques économiques ?

Alors que les leviers monétaires mobilisés depuis 10 ans semblent avoir atteint leurs limites, la question d’un distribution directe d’argent aux entreprises et aux ménages revient sur la table.
La crise actuelle se caractérise par une absence d'offre qui se double d'une absence de demande. AFP

L’Europe au stade 1 de la crise économique

Les institutions européennes auront notamment un rôle crucial à jouer pour éviter que les turbulences économiques n’évoluent en crise financière.

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