Des individus différents, pouvant appartenir à des « communautés » diverses, sont réunis dans un même pays, dont ils sont citoyens. Quelle est la nature du lien qui les rattache ?
Serait-il possible de définir une liberté/socle, qui serait le fondement de toutes les autres, et dont toute atteinte serait sans discussion liberticide ?
En ces temps incertains, où les cadres d’études peuvent changer du jour au lendemain, Alain, Hegel, Kant ou Spinoza nous aident à garder le cap sur les enjeux essentiels de la démarche éducative.
Si je suis touché, aussi bien en tant que chrétien, ou que français, ou qu’être humain, c’est parce que l’incendie de Notre-Dame me rappelle, d’une manière fulgurante, le mystère de l’éternité.
Tous les samedis, la violence se déchaîne dans nos centres-ville. Et la haine envahit les réseaux sociaux. Est-il possible, et comment, d’interrompre cette course à l’abîme ?
À l’ère de la « post-vérité », les affabulations semblent avoir plus de poids que la réalité. Mais peut-être y a-t-il, dans la « post-vérité », des alertes à percevoir, et des enseignements à méditer.
Les attentats de 2015 ont exacerbé le débat sur la laïcité en France, en particulier face au défi posé par l’islam. Pour y voir plus clair, il est nécessaire de convoquer l’histoire et la philosophie.
En élaborant sa « deep ecology », le penseur Norvégien Arne Naess avance que rien n’existe de manière séparée et que toute atteinte contre le monde est une atteinte contre soi-même.