La candidate du Parti Socialiste Anne Hidalgo, qui avait appelé la gauche à se rassembler visite Les Maraichers d'Armor à Paimpol, le 18 février 2022.
Fred TANNEAU / AFP
La multiplication des candidatures à gauche peut aussi s’expliquer par les différences sociologiques des « électorats » potentiels de chaque candidat.
Anne Hidalgo, maire de Paris et candidate à l'élection présidentielle 2022 en meeting à Perpignan espère une candidature unique à gauche.
Lionel Bonaventure/AFP
Le nombre actuel des candidatures cataloguées comme de gauche résulte d’une incapacité de « petites et moyennes entreprises » politiques à s’adresser d’une seule voix intelligible aux citoyens.
Le premier secrétaire du PS Olivier Faure après avoir prononcé un discours lors du 79ème congrès du Parti socialiste français (PS) à Villeurbanne, le 19 septembre 2021.
OLIVIER CHASSIGNOLE / AFP
Parier sur la mathématique électorale ne devrait permettre ni au PS, ni à la France Insoumise, ni aux formations écologistes et encore moins à l’extrême gauche de participer à une majorité nationale.
Manifestation à Rennes en 2016, contre le recours à l'article 49.3 par le gouvernement dans un contexte social tendu sur la loi travail.
DAMIEN MEYER / AFP
Si la gravité de la crise à gauche est indéniable, la replacer dans une perspective historique évite de céder à la thèse trop simple de la « mort » du socialisme politique en France.
Le pape François lors de la messe de Pâques du 12 avril 2020. François fait partie de ceux qui appellent à un revenu de base inconditionnel pour les plus fragiles.
Andreas Solaro/AFP
Pour mettre en place un revenu universel, des changements seraient nécessaires en termes de soutien public et politique. La pandémie de Covid-19 pourrait-elle faire basculer la donne ?
En avril 2016 de nombreux Français s'étaient réunis dans le cadre de la mobilisation ‘Nuit Debout’ et avaient expérimenté des débats, conférences et propositions de démocratie participative. Paris, place de la République.
MIGUEL MEDINA / AFP
On assiste à un véritable retournement du macronisme : construit en 2016 contre les oligarchies partisanes sur la base de réseaux militants, il produit une série de réformes peu ou pas négociées.
L’histoire de cette réforme éclaire une des raisons profondes de l’échec de tant de tentatives de réforme, dans le champ éducatif : la difficulté à faire prévaloir l’intérêt des élèves.
Ecole primaire, La Roche de Glun, France.
Allison Meier/Flickr
Quand la réforme des rythmes a été lancée, les enseignants exprimaient une tension entre leur intérêt et celui de mieux étaler les apprentissages. Cinq ans plus tard, le refus l’a emporté. Décryptage.
Emmanuel Macron, dimanche 18 juin 2017, au Touquet.
Christophe Archambault/AFP
Riches en résultats inattendus ou mal perçus, ces élections législatives sont un ferment de recomposition politique qui fera date dans l’histoire de la Vᵉ République.
Dans une rue de Paris, à la veille du second tour de la présidentielle.
Lorie Shaull/Flickr
La gauche française a fini sa gentrification, sa mue en portant Emmanuel Macron au pouvoir celui qui pose là le libéralisme économique tout aussi bien qu’une forme du libéralisme culturel.
Emmanuel Macron, à Paris, le 10 mai 2017.
Eric Feferberg/AFP
Les anciennes forces de gouvernement, PS et LR-UDI, sont directement impactées car elles sont sur les lignes de faille du bouleversement correspondant à la transition entre deux systèmes partisans.
Le Président en marche, dans la cour du Louvre, le 7 mai 2017.
Philippe Lopez / AFP
Pour une analyse à chaud du scrutin, trois aspects sont à aborder : les clés de ce succès, les fragilités qu’il recèle, l’importance décisive du mois à venir dans les actes et les discours.
Des partisans dEmmanuel Macron au Louvre, le 7 mai 2017.
Eric Feferberg/AFP
La nécessité politique et sociologique de réconcilier plusieurs France après cette élection a déjà été soulignée. Il en existe une autre : réconcilier les Français avec leur politique étrangère.
François Fillon (ici le 23 avril), éliminé au premier tour, contrairement aux « prédictions » de Filteris.
Christophe Archambault/AFP
Afin de sauver le candidat Fillon, les sondages d’intention de vote ont été dénigrés et de pseudo métriques ont été artificiellement valorisées pour faire advenir une réalité que le scrutin a démentie.
Emmanuel Macron (ici à Garches, le 25 avril), est arrivé en tête au premier tour. Comme le prédisaient les sondages.
Philippe Wojazer/AFP
Le procès fait aux sondages est un mélange détonnant d’arguments fondés, de fantasmes, de mauvaise foi crasse et d’ignorance de la réalité du travail des sondeurs.
Au QG d'Emmanuel Macron, à Paris, au soir du premier tour.
Patrick Kovarik/AFP
Le scrutin a ouvert une porte historique vers une nouvelle distribution de la représentation politique. À condition qu’elle ne se referme pas brutalement sous le souffle de la peur de l’inconnu.
Emmanuel Macron, sorti en tête au soir du premier tour de l'élection présidentielle.
Eric Feferberg/AFP
Notre système politique sort du premier tour éreinté et profondément divisé. Les positions combinées de chacun face à quatre clivages expliquent le vote mais ne favoriseront pas la gouvernance du pays.
Les candidats se réclamant d'une façon ou d'une autre du populisme totalisent près de 50 % des voix.
Joël Saget et Bertrand Guay / AFP
La vague de fond de cette élection présidentielle est l’installation du populisme dans la vie politique : les candidats s’en inspirant réunissent globalement la moitié de l’électorat.
Le 13 avril 2017, en Pologne: cérémonie d'accueil d'un bataillon de l'armée américaine déployée sur le flanc oriental de l'Alliance.
Wojtek Radwanski/AFP
S’il est difficile de savoir quel candidat sera sélectionné pour le second tour de la présidentielle, il est probable que les deux élus ne soient pas de chauds partisans de l’Alliance atlantique.