Des grandes entreprises, des établissements publics ou encore des start-up espèrent aujourd’hui devenir les premiers à mettre au point le vaccin contre la Covid-19.
Juan Mabromata / AFP
Pour les sociétés de biotechnologies actuellement lancées à la recherche d’un moyen d’endiguer l’épidémie, un échec décevrait les espoirs des investisseurs et compliquerait leur situation post-Covid.
Image de microscope électronique à balayage montrant le SARS-CoV-2 (orange) émergeant de la surface de cellules (vertes) cultivées en laboratoire.
NIAID / Flickr
En attendant un potentiel vaccin, la recherche continue pour traiter efficacement le Covid-19. Utiliser des anticorps bloquant spécifiquement le virus pourrait s’avérer efficace.
Clément Quintard, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)
En cultivant des cellules d’organes spécifiques sur des dispositifs de la taille d’une carte à jouer, on peut tester leurs réactions à de nouveaux médicaments.
L'entreprise Ynsect, situé à Dole dans le Jura, s'est spécialisée dans l'élevage d'insectes destinés à l'alimentation animale et aux engrais organiques.
Sébastien Bozon/ AFP
Les pouvoirs publics cherchent aujourd’hui à structurer le secteur des entreprises qui allient technologies et alimentaire pour rattraper les pays anglo-saxons ou encore l’Allemagne.
L'information disponible sur les plates-formes ne suffit pas à forger la décision d'un investisseur.
nmedia / Shutterstock
Une étude exploratoire souligne l’enjeu de la cocréation d’informations au sein de la foule sur les plates-formes de CF afin d’influencer la prise de décision individuelle des investisseurs potentiels.
L’utilisation des cellules souches en thérapie est complexe à mettre en œuvre, mais porteuse d’espoir.
Shutterstock
Pourra-t-on un jour réparer cerveau et système nerveux abîmés grâce aux cellules souches ? Cette approche est certes compliquée à mettre en œuvre, mais elle n’en demeure pas moins envisageable.
Pour financer la recherche, certains contributeurs déboursent jusqu'à 300 000 euros.
Mikbiz / Shutterstock
Le crowdfunding apparaît bien adapté dans ce secteur où les perspectives d’amortissement restent longues. Les motivations des contributeurs dépassent en effet le simple retour sur investissement.
Vous avez dit « omiques » ? La biologie se renouvelle grâce aux technologies d'analyse du vivant à l'échelle moléculaire : génomique, protéomique, etc. Une voie pour saisir la vie dans sa diversité.
Marc Macé, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
100 pixels pour voir le monde.
Marc Macé est chercheur à l’IRIT. Il travaille sur la conception de rétines artificielles pour une vision de moins de cent points lumineux pour la personne déficiente visuelle.
La télémédecine fait partie des évolutions récentes les plus significatives en matière de santé.
NEC/Flickr
Pour faire face à des défis de plus en plus complexes, le secteur de la santé doit innover différemment. Notamment en se décloisonnant et en créant des espaces dédiés à la collaboration entre acteurs.
Roboy, l'Université de Zürich, 27 février 2013.
Adrian Baer/Wikimedia
Le Projet européen du cerveau humain vise à réaliser un simulateur de cet organe pour 2024. Avec la promesse de réussir à comprendre et guérir les maladies neurodégénératives. Faut-il y croire ?
Le « Titan Arm », un exosquelette conçu par une équipe de l’université de Pennsylvanie pour démultiplier la force de traction des bras.
Titan Arm
Un paradigme nouveau s’est imposé sur la scène sociale, celui de « l’humain augmenté ». Analyse de ce phénomène à travers la problématique du corps réparé ou/et augmenté par une prothèse.
Dans le débat polarisé autour des OGM, il est curieux que les plantes fassent l’objet d’un rejet massif alors que les produits biotechnologiques à usage médical sont mieux acceptés. Explication.
Etablissement de Pfizer à Citywest Campus Dublin. Déjà sur place…
William Murphy / Flickr
Pfizer – ex numéro un mondial – et Allegan vont fusionner pour créer un leader de la pharmacie. Mais cette « fusion inversée » est aussi une belle opération fiscale pour profiter du système irlandais.
Manifestation pour le climat, 2011.
Michel van Reysen/Flickr
Philippe Huneman, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Dans le troisième volet de sa contribution sur climatoscepticisme et opposition aux OGM, Philippe Huneman montre comment la défiance envers les experts n’est pas une posture tout d’un bloc.
Philippe Huneman, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Contester l'expertise scientifique, en mettant en avant ses biais... Voilà qui réunit adversaires des OGM et climatosceptiques. Mais l'argumentation est fallacieuse.
Manifestation contre les OGM à Paris, 2013.
Fred Dufour/AFP
Philippe Huneman, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
À l’occasion de la COP 21, les sceptiques du climat refont parler d’eux. S’inscrivent-ils dans un mouvement de défiance envers la science où l’on trouverait aussi les anti-OGM ? Rien n’est moins sûr.
Pour sortir de la confrontation stérile entre pro et anti-OGM, il faut d’abord s’interroger sur ce que pourrait être le modèle agricole le plus souhaitable.
Professeur associé d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc in Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)