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Articles on Canadiens-français

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Caroline Mulroney, ministre des Affaires francophones, en entrevue à Toronto, en février 2018. LA PRESSE CANADIENNE/Christopher Katsarov

À quand une loi sur l’épanouissement de la communauté franco-ontarienne ?

Dans le contexte où la Loi sur les langues officielles du Canada est en voie d’être révisée, il est intéressant de réfléchir aux divers processus de révision des lois linguistiques au pays.
Des Franco-Ontariens protestent contre les coupures dans les services en français par le gouvernement de l'Ontario, à Ottawa, en décembre 2018. LA PRESSE CANADIENNE/Patrick Doyle

L’Ontario modernise sa Loi sur les services en français : est-ce suffisant pour l'épanouissement de la minorité ?

La modernisation de la Loi sur les services en français de l’Ontario est attendue depuis 2016, et se veut un geste conciliateur envers les Franco-Ontariens de la part du gouvernement Ford.
La première communauté de citoyen français, nés en France et vivant à l’étranger, se trouve au Canada et plus précisément au Québec. Shutterstock

Découvrez qui sont les 100 000 Français qui vivent au Canada

Le profil le plus commun du Français qui vit au Canada est un quadragénaire, né en France, qui travaille et vit au Québec, plus précisément à Montréal!
Le premier ministre du Québec, François Legault, discute avec Louise Mushikiwabo, secrétaire générale de la Francophonie, le 11 juin 2019 à Québec. La Presse Canadienne/Jacques Boissinot

La Francophonie a 50 ans. L’héritage mitigé de l’organisation internationale

En ce mois du 50ᵉ anniversaire de la Francophonie, il est temps de réfléchir à l'histoire inédite des connexions françaises à travers la frontière canado-américaine.
Des travailleuses de la Northern Electric, à Montréal. Avant la Révolution tranquille, l'anglais était la langue des boss, et il fallait sinon la parler, du moins la comprendre. . Photo de Parcs Canada - Canal de Lachine

Voici comment parlaient les ouvriers canadiens-français avant la Révolution tranquille

Pour les ouvriers canadiens-français d'avant la Révolution tranquille, l'anglais était la langue des boss, et il fallait sinon la parler, du moins la comprendre.

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