Des contenants de remplacement, comme les bioplastiques, sont promus pour réduire l’exposition alimentaire au plastique. Mais les connaissances sur le sujet font défaut.
Une enquête conduite auprès de 29 restaurants collectifs met à jour quatre leviers à mobiliser pour rendre la cantine plus appétissante, plus saine et plus respectueuse de l’environnement.
Géraldine Comoretto, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Quand on évoque les cantines dans le débat public, on se focalise souvent sur la qualité des repas. Mais ce temps de partage occupe aussi une place forte dans la socialisation des enfants.
Certaines écoles rouvriront leurs cantines le 11 mai, d’autres demanderont aux enfants d’apporter leur repas en classe. Une différence qui n’est pas anodine d’un point de vue historique.
Jérôme Santolini, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)
Au sein du collectif « Cantine sans plastique », des parents d’élèves se mobilisent pour alerter sur le danger de substances contenues dans la vaisselle et les ustensiles de restauration scolaire.
Chercheur en biochimie, responsable du laboratoire « Stress oxydant et détoxication », Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)