Pour qu’il y ait combustion, il faut de l’oxygène. Les granulés de nitrate d’ammonium fournissent un apport d’oxygène beaucoup plus concentré que l’air qui nous entoure.
Les survivalistes aussi connus sous le nom de « preppers » se préparent à des catastrophes majeures voire même à l'effondrement de notre civilisation industrielle.
Kyle Glenn / Unsplash
Réseaux sociaux et influenceurs, « storytelling », salons dédiés… l’essor du mouvement repose sur certaines pratiques loin d’apparaître comme hors système.
Dans son dernier rapport sur le monde en 2035, le renseignement américain évoquait « l’épidémie mondiale de 2023 ». Une spéculation féconde pour le rétroprospectiviste.
Alex Wong / Getty Images via AFP
Cette discipline analyse les relations entre une hypothèse qui s’est réalisée et les éléments qui ont amené à cette prédiction. « Le monde en 2035 vu par la CIA » est en ce sens riche d’enseignement.
Campagne de sensibilisation aux dangers du Covid-19 par la police indonésienne.
Juni Kriswanto/ AFP
Le cygne noir, c’est l’inconnu inconnu. Avec le Covid-19, il nous faut apprendre à accepter les incertitudes et à s’inspirer, pourquoi pas, des techniques militaires.
Panneau d'information à Mulhouse, le 6 mars, une semaine avant que la France décide d'un confinement général.
SEBASTIEN BOZON / AFP
Fabrice Flipo, Institut Mines-Télécom Business School
La pandémie, en ce qu’elle représente un risque majeur donc exceptionnel, appelle une réponse construite collectivement, et non pas par un petit groupe d’experts ou de décideurs.
À ce jour, 648 « cat bonds » ont été émis depuis 1997. Un chiffre qui pourrait décoller avec la crise sanitaire actuelle.
Viacheslav Lopatin/Shutterstock
Le contexte favorise l’intérêt pour ces produits financiers, controversés, qui fournissent une protection en cas de catastrophe majeure en échange d’une rémunération souvent élevée.
Dans ‘Bienvenue à Zombieland’ (2009), les protagonistes doivent affronter les zombies et apprendre à s'entendre, et si on remplaçait zombie par coronavirus?
Allociné
Les peurs, plus que le coronavirus lui-même, se propagent, stimulées par notre consommation de films où règnent les zombies. Pourquoi ne pas écouter ce qu’ils ont à nous dire sur notre propre humanité ?
L'eau est montée jusqu'à 1,87 mètre dans la ville italienne, le 12 novembre dernier.
Ihor Serdyukov / Shutterstock
Les promesses de dons ont rapidement atteint un milliard d’euros après l’incendie de la cathédrale parisienne en avril, contre quelques millions après l’inondation de la cité des Doges en novembre.
La mini-série de dix épisodes retrace la catastrophe nucléaire survenue en 1986 à Tchernobyl, en URSS.
Site Allociné
La série défend l’idée selon laquelle la catastrophe nucléaire de Tchernobyl n’aurait pas pu se produire ailleurs. Une thèse qui s’appuie sur des fondements historiques très contestables.
Le 4 juin dernier, des activistes de l’ONG environnementale ANV-COP21 ont organisé un die-in devant l’Assemblée Nationale à Paris.
Stéphanie de Sakutin/AFP
Pour que l’urgence écologique résonne davantage, il faut ancrer l’action dans le présent et non dans un futur perçu comme inaccessible.
Vue de la centrale nucléaire de Tchernobyl, en Ukraine, prise le 4 mai 2017, et du bâtiment de confinement installé sur le réacteur numéro 4.
Germán Orizaola
Trente-trois ans après l’accident, Tchernobyl abrite une faune et une flore diversifiées, passant du statut de désert pour la vie à celui de zone d’intérêt pour la conservation de la faune.
Le léopard de l’Amour, espèce très rare, est considérée comme en danger critique d’extinction depuis 1996.
Photos AFP/Wikipedia
À quand une vraie mobilisation pour éteindre la perte dramatique de biodiversité ? Si Notre-Dame peut être reconstruite et renaître, les espèces éteintes le seront malheureusement à jamais.
Le secrétaire d'Etat Laurent Nunez, et le ministre de la Culture, Franck Riester, le 16 avril 2019.
Ludovic Marin / AFP
« L'édition spéciale » est l'abandon du journalisme : un moment intense, où l'absence de conflit produit la diffusion d'un discours non contradictoire, permettant la construction du roman national.
Le « Miharu Takizakura », cerisier pleureur de plus de mille ans.
Shutterstock
Alors que la morale occidentale sous-entend que la culpabilité du survivant est irrationnelle, la tradition philosophique africaine donne les clés pour comprendre en quoi elle peut être positive.