À trop souligner le caractère inédit de la crise, on risque de négliger combien elle ramène à la centralité du capital privé dans le financement des politiques publiques.
Un retour sur les évènements des derniers mois révèle que plusieurs alertes issues de la recherche n’ont pas été intégrées à temps dans l’action gouvernementale.
Associer ses proches à ses décisions ou encore repenser la signification du « retour à la normale » permet de se protéger des biais cognitifs et de leurs conséquences funestes.
Le groupe Axyntis, une ETI de la pharmacie, a mis en place une veille sur les ruptures d'approvisionnement et a opté pour une stratégie à rebours du mouvement de délocalisation dans son secteur.
Réduction des dépenses, allongement des délais de paiement, appel à l’endettement… Autant de mesures aux conséquences lourdes qui pourraient enclencher un cercle vicieux.
La nouvelle configuration du monde dépendra des choix politiques dans les domaines des relations internationales et de la reconstruction des systèmes productifs.
La crise a contraint l’État a adopté un dispositif législatif sans précédent pour venir en aide à un tissu économique déjà fragilisé par les grèves et le mouvement des « gilets jaunes ».
La crise économique mondiale et la saturation des capacités de stockage américaines expliquent pourquoi les prix sont entrés en territoire négatif en début de semaine.
La choc d’offre se double d’un choc de demande qui pourrait s’avérer durable, notamment des les pays occidentaux, obligeant les maisons à devoir accélérer les mutations du secteur déjà entamées.
Même si une récession plus grave qu’en 2008-2009 est désormais attendue, certaines entreprises avaient déjà anticipé un ralentissement en prenant notamment des mesures de désendettement.
L’impact économique de la pandémie de Covid-19 pourrait être considérable. La relance de l’activité, qui va de pair avec le déconfinement, est une préoccupation majeure. Comment s’y prendre au mieux ?
La crise sanitaire, mais aussi la perspective d’une instabilité climatique accrue, ouvrent la voie à ces titres de dette commune qui divisent l’Union européenne depuis plus de 25 ans.