Faire régulièrement de mauvais rêves et des cauchemars à un âge moyen et avancé peut être lié à un risque accru de développer une démence plus tard dans la vie.
(Shutterstock)
Une nouvelle étude révèle que les personnes d’âge moyen qui font des cauchemars chaque semaine sont quatre fois plus susceptibles de connaître un déclin cognitif.
Conçus pour stimuler les capacités cognitives des patients atteints d'Alzheimer, les jardins dit « enrichis » donnent déjà des résultats positifs.
Joël Belmin, Etienne Bourdon
Le jardin associe notre créativité à notre admiration pour la nature, et procure apaisement et bien-être. Une étude récente montre les bienfaits d’un jardin « enrichi » pour les patients Alzheimer.
Avoir une bonne musculature n’est pas seulement utile pour les activités sportives, c’est aussi important pour rester en bonne santé.
Shutterstock
Réhabilitons le muscle ! Premier organe de notre corps par sa masse, il est aussi un acteur incontournable de notre bonne santé - physique et cognitive. Comment enrayer sa fonte au fil du temps ?
Réduire la sédentarité dans les CHSLD et résidences pour aînés pourrait améliorer la qualité de vie des personnes âgées.
Shutterstock
Afin d’améliorer les soins et la qualité de vie dans les résidences de soins pour personnes âgées, il faudrait réduire les comportements sédentaires.
La maladie d'Alzheimer est caractérisée par des pertes progressives de la mémoire, une désorientation spatiale, et bien d’autres troubles cognitifs et comportementaux qui mèneront ultimement à un état grabataire et de dépendance totale.
(Shutterstock)
La théorie de l’amyloïde bat de l’aile, mais l’approbation de l’aducanumab représente un risque qu’elle reprenne toute la place et ralentisse la recherche de traitements plus prometteurs.
Chez les personnes âgées en bonne santé, la solitude se caractérise par une réaction au stress similaire à celle des personnes qui souffrent de stress chronique.
Justin Paget via Getty Images
L’isolement social que connaissent les personnes âgées qui tentent de se protéger contre la pandémie de coronavirus fait naître de nouveaux risques pour la santé mentale.
Chef de service à l'hôpital gériatrique universitaire Charles Foix (Ivry-sur-Seine) - Professeur de gériatrie à la Faculté de Médecine Sorbonne (Paris), AP-HP