Si la langue des signes française (LSF) est reconnue comme langue d’enseignement depuis 2005, l’accès à un cursus bilingue LSF-français reste compliqué.
« Pesticides », « produits phytosanitaires », « intrants », « phytos »… Ces termes sont régulièrement présentés comme interchangeables. En réalité, ils disent beaucoup de ceux qui les emploient.
Les traducteurs automatiques de langues peuvent être des outils d’apprentissage. À condition de savoir s’en servir et de les intégrer dans une palette de dispositifs pédagogiques.
Paradoxe de notre époque : ces dernières décennies, l’expression « urgence climatique » s’est démocratisée, mais l’injonction à agir qu’elle contient n’est pas advenue.
Le numérique a relancé l’intérêt pour l’art oratoire. Et l’école française, qui jusqu’ici privilégiait l’écrit, donne désormais l’exemple à travers l’épreuve de grand oral du bac.
Selon les livres, la manière dont on pratique l’humour en famille et le milieu social, les enfants apprennent plus ou moins bien à jouer avec les mots. Décryptage de ces inégalités de langage.
Comment pallier le manque de ressources en langues des signes disponibles en lignes ? Des avatars 3D, aidés d’intelligence artificielle, permettent de générer des énoncés signés automatiquement.
L'anthropocène, cette possible nouvelle ère géologique où l’influence humaine aurait surpassé les forces naturelles, est loin de faire consensus chez les géologues. Certains en déplorent l'anthropocentrisme.
Dans une bibliothèque ou une librairie bien fournie, vous pourriez trouver jusqu’à sept traductions différentes des « Métamorphoses » ou de « Gatsby le Magnifique ». Selon quels critères choisir ?
L’écrit et l’oral n’obéissent pas aux mêmes normes discursives et syntaxiques : il ne faut pas condamner trop vite l’usage de l’expression « du coup ».
Avec le numérique, la palette d’outils de prise de notes s’élargit. Certains sont-ils plus efficaces ? Leur efficacité dépend-elle des habitudes de chacun ?
Le sujet de « l’illettrisme » a fait irruption sur la scène politico-médiatique il y a une trentaine d’années et souffre régulièrement d’approximations et de gonflements statistiques.
L’expression « Pas de souci ! » est aussi répandue que mal-aimée. Son émergence est typique d’évolutions linguistiques bien attestées par ailleurs. Retour sur un cas d’école.