Le lecanemab est un anticorps qui s’attache aux protéines bêta-amyloïde accumulées dans le cerveau et permettrait au système immunitaire de s’en débarrasser.
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Un traitement de 18 mois au lecanemab ralentit de 27 % la perte fonctionnelle et cognitive chez des personnes atteintes de maladie d’Alzheimer légère. Mais ce n’est que le premier pas vers une véritable cure.
Le diabète de type 2, caractérisé aux stades avancés par une résistance à l’insuline, constitue un facteur de risque important de l’Alzheimer.
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L’altération des récepteurs de l’insuline au niveau des vaisseaux sanguins entre le sang et le cerveau, contribuerait à la résistance à l’insuline observée dans l’Alzheimer.
Faire régulièrement de mauvais rêves et des cauchemars à un âge moyen et avancé peut être lié à un risque accru de développer une démence plus tard dans la vie.
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Une nouvelle étude révèle que les personnes d’âge moyen qui font des cauchemars chaque semaine sont quatre fois plus susceptibles de connaître un déclin cognitif.
L’excès d’amyloïde bêta dans le cerveau a longtemps été considéré comme la cause principale de la maladie d’Alzheimer. De nouvelles recherches semblent suggérer le contraire.
Une nouvelle étude confirme que marcher environ huit kilomètres (ou 10 000 pas) par jour permet de prévenir de manière optimale le cancer, la démence et les maladies cardiovasculaires.
Une nouvelle théorie sur la maladie d’Alzheimer reconsidère le rôle de la bêta-amyloïde dans le cerveau.
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La maladie d’Alzheimer n’est peut-être pas principalement une maladie du cerveau. Il pourrait s’agir d’un trouble du système immunitaire à l’intérieur du cerveau.
La plupart des gens ont du mal à se concentrer après une mauvaise nuit de sommeil.
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Tant l’excès que le manque de sommeil peuvent perturber notre cognition.
Illustration en 3D de plaques amyloïdes se formant entre les neurones.On a longtemps cru que ces dépôts provoquaient la démence liée à la maladie d'Alzheimer, mais de nouvelles études commencent à en douter.
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Les dépôts de protéines sont tenus pour responsables de la maladie d’Alzheimer, mais les médicaments qui les ciblent échouent. Nous devons orienter les recherches vers les premiers stades de la maladie.
Il est normal de dormir davantage en journée quand on vieillit, mais dans une certaine mesure seulement.
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L’augmentation de la durée des siestes prolongées fait partie du processus normal du vieillissement. Cependant, des siestes trop longues pourraient être signe de déclin cognitif.
Le flux sanguin parcourt notre cerveau à travers un arbre vasculaire cérébral, depuis le tronc jusqu’aux capillaires. Une technique d’imagerie pourrait permettre de voir avec précision la circulation sanguine et de ce fait, détecter les signes de démence.
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Une technique d’imagerie en développement pourrait permettre de voir avec précision la circulation sanguine au cerveau et détecter les signes de démence avant l’apparition des premiers symptômes.
Une résidente de 84 ans profite de la balançoire sur la place centrale du Village landais, le 9 septembre 2020.
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En mars 2020 ouvrait dans les Landes le premier village dédié aux malades d’Alzheimer. Une approche en rupture, qui vise à moins médicaliser et mieux intégrer les quelque 120 résidents.
Les humains ont plusieurs points en commun avec les poissons: consommation de drogues, problèmes de mémoire liés à l'âge et la même impatience lorsqu'il faut attendre la nourriture.
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Une consommation élevée de viandes hautement transformées peut simplement être représentative d’un mode de vie moins sain dans l’ensemble, ce qui augmente les risques d’Alzheimer.
Les souvenirs d’enfance s’effacent, et les photographies viennent parfois les remplacer.
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On se souvient très peu des premières années de sa vie. Ces souvenirs ont-ils disparu, ou restent-ils cachés quelque part dans notre cerveau ?
À l'heure actuelle, les seuls médicaments approuvés pour la maladie d'Alzheimer se contentent de soulager certains symptômes - partiellement et temporairement - mais n'arrêtent pas la progression de la maladie.
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Connue officiellement depuis 115 ans, il n'y a toujours pas de traitement contre l'Alzheimer. Le cerveau humain est extrêmement complexe, et la maladie d'Alzheimer est sa maladie la plus complexe.
À Sevran, le 27 décembre dernier, Mauricette a été la première Française à avoir reçu une dose du vaccin à ARN contre la Covid-19 de Pfizer-BioNTech, après avoir signifié son consentement. Mais qu’en est-il des personnes souffrant de troubles cognitifs ?
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Le consentement libre et éclairé est un pilier de l’éthique médicale. Mais comment faire pour l’obtenir lorsque les capacités cognitives des patients sont altérées ?
Chez les personnes âgées en bonne santé, la solitude se caractérise par une réaction au stress similaire à celle des personnes qui souffrent de stress chronique.
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L’isolement social que connaissent les personnes âgées qui tentent de se protéger contre la pandémie de coronavirus fait naître de nouveaux risques pour la santé mentale.
Plusieurs des facteurs de risques liés à la maladie d'Alzheimer peuvent être prévenus.
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Le stress, la dépression et l’hypertension artérielle ne sont que quelques-uns des facteurs de risque identifiés par les chercheurs de l’étude.
Une nouvelle étude financée par le Centre for Aging and Brain Health Innovation examinera l’utilisation des technologies d’apprentissage à l’intention des personnes atteintes de démence et celles à risque.
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Au-delà des peurs qu’il suscite, l’oubli est une force sans laquelle il nous est impossible de vivre dans le présent. Digérer le passé est essentiel à l’équilibre psychique.
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Collège des Bernardins
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Chef de service à l'hôpital gériatrique universitaire Charles Foix (Ivry-sur-Seine) - Professeur de gériatrie à la Faculté de Médecine Sorbonne (Paris), AP-HP
Associate lecturer, Masters of Digital Media Program, and Senior Scholar in the field of Aging and Technology, Ted Rogers School of Management, Toronto Metropolitan University