« Pauvres créatures » est l’adaptation rétrofuturiste du roman d’Alasdair Gray au cinéma. Un auteur et artiste écossais qui a marqué son époque et continue à inspirer le monde de la création.
Un obscur graveur mexicain du nom de José Guadalupe Posada a créé ce crâne satirique au début des années 1900 et l’a vendu pour un centime. Mais après sa mort, le crâne a pris une vie propre.
Présent dans les programmes depuis les débuts de l’école obligatoire, le cours de dessin est devenu cours d’arts plastiques. Faut-il y voir le renforcement d’une éducation artistique et culturelle ?
Les enfants s’intéressent souvent aux animaux. Mais connaissent-ils bien la nature dans toute sa diversité ? Leurs dessins soulèvent un certain nombre d’enjeux écologiques.
Souvent considéré comme un simple divertissement, le dessin est en fait une activité riche de nombreux apprentissages et qui gagne à être partagée en famille.
Joan Le Goff, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Pourquoi ce dessin si simple est-il lesté d’un tel sens ? Et pourquoi est-ce cette image spécifiquement qui s’est imposée sous le crayon du graphiste ?
À travers leurs dessins, les enfants montrent à quel point marques et produits de consommation font partie de leur quotidien. Mais ils semblent également conscients des dangers de la surconsommation.
Témoignant des effets dévastateurs des conflits sur le psychisme des jeunes victimes, les dessins d’enfants sont aussi un outil pour faire valoir leurs droits, et des sources pour les historiens.
Marie Pelé, Institut catholique de Lille (ICL) and Cédric Sueur, Université de Strasbourg
Molly était une femelle orang-outan, créatrice de plus de 1 300 dessins. Que nous apprennent-ils sur la manière qu’ont ces singes de percevoir et de représenter le monde ?
L’art de la Renaissance, sans échapper à la domination théorique et visuelle des Européens sur les peuples africains, était peut-être plus divers que l’on pourrait initialement le penser.
Le dessin, étudié chez l’enfant ou dans sa dimension évolutive passionne et interroge. Sa forme enfantine nous émerveille et son histoire, nous conduit à questionner le développement de notre lignée.
L’acte humoristique est un moment de libération d’une contrainte, de relativisation d’un savoir unique. Mais, s’il désacralise, ce n’est pas pour resacraliser par-derrière.
À force de dire partout « qu’on ne peut plus rien dire », certains humoristes nagent en pleine contradiction puisque c’est bien à eux « qu’on ne peut plus rien dire ».