Coupe transversale d’une jeune tige de quelques millimètres d’érable sycomore, observée sous microscopie à épifluorescence.
Photo prise par Romain Le Bars à la plateforme imagerie-Gif.
La photosynthèse existe aussi dans les tiges, ou pourquoi il ne faut pas négliger l’« apparemment négligeable ».
De part sa source naturelle particulière et son procédé de fabrication singulier, le sirop d’érable comprend des molécules bioactives dont les bénéfices dépassent largement le simple agrément de la gâterie sucrée.
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Le sirop d’érable, en plus d’être un joyau du patrimoine culinaire canadien, est également un agent sucrant présentant une constitution chimique complexe.
Les propriétés du sirop d’érable peuvent être influencées par différents facteurs, d’origine environnementale, végétale, microbiologique et technologique.
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Le mystère entourant le goût du sirop d’érable réside entre autres dans la complexité chimique fine de cet aliment, qui est d’ailleurs très variable d’un sirop à l’autre.