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Articles on espace post-soviétique

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Vladimir Poutine salue les représentants des nombreuses confessions religieuses présentes en Russie sur la place Rouge à Moscou, le 4 novembre 2019, jour de l'Unité nationale. Evgenia Novozhenina/AFP

La Russie, une nation en suspens

La Russie n’est pas un État-nation. Elle compte en son sein de nombreuses minorités ethniques et religieuses, qui tentent de trouver leur place dans un ensemble dominé par les Russes ethniques.
Des habitants de Soukhoumi, la capitale de l’Abkhazie, brandissent des drapeaux de l’Abkhazie (à bandes vertes), de l’Ossétie du Sud (blanc, rouge et jaune) et de la Russie pour célébrer la reconnaissance par Moscou de l’indépendance de ces deux républiques sécessionnistes de Géorgie, le 16 août 2008. AFP

Trente ans après l’effondrement de l’URSS, ces États fantômes qui hantent l’espace post-soviétique

Les entités sécessionnistes s’imposent comme un enjeu politique central pour les États issus de l’ancien Empire soviétique, mais aussi pour le continent européen.
Un militaire ukrainien se tient devant un char détruit en 2014 par les séparatistes soutenus par la Russie, sur la ligne de front près de la petite ville de Pisky, dans la région de Donetsk, le 21 avril 2021. Aleksey Filippov/AFP

Bonnes feuilles : « Ukraine, de l’indépendance à la guerre »

Un récent ouvrage permet de mieux comprendre la situation de l’Ukraine, et la façon dont la perçoivent aussi bien la Russie que l’UE et les États-Unis.
Un « Musée des monuments du socialisme réaliste », situé dans un village abandonné à quelque 170 km d'Odessa, rassemble 128 bustes et statues de Lénine, qui ont été démantelés après que le Parlement ukrainien a adopté la loi dite de décommunisation en 2015. Sergei Supinsky/AFP

Trente ans après la fin de l’URSS, quelle mémoire de cette période en Russie et en Ukraine ?

Près de soixante-dix ans durant, l’Ukraine et la Russie ont été réunies dans le cadre de l’Union soviétique. La mémoire de cette époque est présentée très différemment dans les deux pays.
Des militaires ukrainiens en tenue de camouflage lors d’un entraînement conjoint avec des troupes de l’OTAN, près de Lvov, le 24 septembre 2021. Yuriy Dyachushyn/AFP

Faut-il s’alarmer des nouveaux bruits de bottes à la frontière russo-ukrainienne ?

La Russie a massé près de 100 000 soldats à la frontière ukrainienne. On s’est presque habitué à ces démonstrations de force. Pourtant, le risque de brusque dégradation, quoique faible, est réel.
Une affiche en l'honneur du Sheriff, dans le centre de Tiraspol, début novembre 2021. Le slogan proclame : « Sans passé, il n'y a pas d'avenir. » L. Aubin

Transnistrie : exister grâce au football ?

Le Sheriff Tiraspol est le club phare de la Transnistrie sécessionniste, qui a proclamé en 1992 une indépendance qu’aucun pays au monde ne reconnaît. Le football lui offre une vitrine inespérée.
Le parti du pouvoir, Russie unie, dont on aperçoit le logo en bas à gauche de cette affiche électorale, multiplie les manoeuvres pour obtenir une victoire écrasante aux prochaines législatives. Alexander Nemenov/AFP

Russie unie : des législatives (presque) totalement contrôlées par le pouvoir

Les législatives russes, qui se tiendront du 17 au 19 septembre, suscitent une certaine inquiétude du pouvoir, qui multiplie les mesures visant à en contrôler le déroulement et les résultats.
Les militants écologistes ukrainiens se sont alliés aux nationalistes pour exiger que le pays prenne son indépendance vis-à-vis de l’URSS, célébrée ici à Kiev le 25 août 1991, au lendemain de sa proclamation. Anatoly Saprononekov/AFP

De la lutte pour l’indépendance jusqu’à aujourd’hui : une brève histoire de l’éco-nationalisme ukrainien

Les mouvements écologistes ont joué un rôle important dans l’accession de l’Ukraine à l’indépendance en 1991. Aujourd’hui, cette tendance a été, paradoxalement, récupérée par l’extrême droite.
Des gardes-frontières biélorusses patrouillent à la frontière entre la Lituanie et la Biélorussie, à Salcininkai, en Lituanie, le 27 mai 2021. Petras Malukas/AFP

La Biélorussie, d’État pivot à nouveau rideau de fer en Europe ?

La crise sans précédent que traverse la Biélorussie depuis un an, marquée par un net durcissement d'un régime déjà autoritaire, a durablement coupé ce pays de l'UE voisine.
L’athlète olympique biélorusse Krystyna Tsimanouskaya lors d’une conférence de presse le 5 août 2021 à Varsovie, au lendemain de son arrivée en Pologne. Wojtek Radwanski/AFP

Quand la politique biélorusse s’invite aux JO de Tokyo

Un épisode rocambolesque survenu lors des Jeux olympiques de Tokyo a rappelé au monde la réalité brutale à laquelle les Biélorusses sont confrontés en permanence sous le régime de Loukachenko.
Lors d’une manifestation à Saint-Pétersbourg, Vladimir Poutine est assimilé à Léonid Brejnev, qui était resté dix-huit ans au Kremlin. Le chef de l'État actuel en est déjà à dix-sept ans, et pourrait théoriquement demeurer au pouvoir pour encore quinze années supplémentaires. Olga Maltseva/AFP

« Un monde nouveau » : Écoutez l’émission sur les perspectives du régime de Vladimir Poutine

Découvrez une sélection d’articles de la rédaction pour mieux comprendre l’évolution récente du régime russe et les sentiments d’une population moins docile qu’on le croit souvent.
Rassemblement de membres des partis d’extrême droite Svoboda, Secteur droit et Corps national à Kiev le 22 février 2017. Genya Savilov/AFP

Les deux visages de l’extrême droite ukrainienne

L’extrême droite ukrainienne est marquée par des divisions idéologiques profondes qui reflètent à leur façon l’histoire du pays.
Des manifestants brandissent des avions en papier lors d’un rassemblement de protestation à Varsovie le 24 mai 2021 contre le détournement la veille par Minsk du vol Athènes-Vilnius qui a permis l’arrestation de l’opposant biélorusse Roman Protassevitch. Wojtek Radwanski/AFP

Biélorussie : pourquoi Loukachenko estime avoir les coudées franches

Aussi longtemps qu’il se sentira appuyé par Vladimir Poutine, Alexandre Loukachenko estimera qu’il ne risque pas grand-chose à réprimer ses opposants, y compris en les interceptant en plein ciel.
Vladimir Poutine lors d’un congrès de Russie unie en 2019. Le parti du pouvoir, qui domine largement la Douma, est devenu si impopulaire que le Kremlin est contraint de refonder le champ politique russe. Sergei Ilnitsky/Pool/AFP

Russie : du parti dominant au parti (presque) unique ?

Constatant l’érosion de la popularité du parti du pouvoir, Russie unie, le Kremlin cherche à donner une nouvelle impulsion à d’autres formations politiques loyales envers le régime.
Manifestation devant les bureaux de la Commission européenne à Varsovie, le 24 mai 2021, pour demander la libération de l’opposant biélorusse Roman Protassevitch. La pancarte de droite proclame : « Votre préoccupation ne suffit pas. » Wojtek Radwanski/AFP

Le coup de force de Loukachenko souligne l’impuissance de l’UE

Le fait que le régime de Minsk n’ait osé dérouter un vol Athènes-Vilnius rempli de citoyens de l’UE pour intercepter un opposant constitue un nouveau camouflet pour l’Union.
La mise en scène du corps sportif de Vladimir Poutine est soigneusement calibrée par les communicants du Kremlin. Mikhail Klimentyev/Sputnik/AFP

Bonnes feuilles : « La sportokratura sous Vladimir Poutine : une géopolitique du sport russe »

Le régime russe accorde une place majeure au sport, qui représente un élément important de sa communication intérieure comme extérieure. Au cœur de ce dispositif, il y a l’image du président Poutine.
Le drapeau de la « République populaire de Donetsk » hissé à proximité du monument à Lénine qui trône dans le centre de Donetsk, lors d’un concert organisé par les autorités de la région séparatiste en octobre 2014. Philippe Desmazes/AFP

Au Donbass, la guerre est aussi celle des mémoires

Un retour sur l’histoire de la ville de Donetsk permet de mieux comprendre que le conflit qui oppose la Russie à l’Ukraine est en bonne partie mémoriel.

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