Noémie Coulon, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
C'est un constat qui alarme, car on a longtemps pensé que ces espèces s'acclimateraient, ayant survécu à des périodes passées aux concentrations atmosphériques de CO2 bien plus élevées qu'aujourd'hui.
Une bactérie est un microbe, donc par définition invisible à l’œil nu. Pourtant la découverte de bactéries géantes vient rebattre les cartes de notre classification du vivant.
À l’heure où de nombreuses espèces s’éteignent, notre connaissance de la biodiversité est encore très parcellaire et chaque expédition scientifique est l’occasion de nouvelles rencontres.
Des chercheurs de l’université d’Oslo ont foré jusqu’au fond du glacier Kongsvegen. Découvrez pourquoi et comment ils écoutent la déstabilisation des glaciers arctiques.
Mais que se passe-t-il à des centaines de kilomètres sous nos pieds pour déclencher les mouvements tectoniques ? La réponse pourrait se trouver dans un minéral : l’olivine.
Nadia Améziane, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) and Marc Eléaume, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Embarquez sur l’Aurora Australis, un brise-glace de 100 mètres de long pour découvrir des espèces uniques, comme ce poisson au sang blanc dépourvu d’hémoglobine.
Les terres rares sont des éléments chimiques indispensables aux nouvelles technologies. Récit personnel d’une expédition mêlant aventure, géologie et dingos.
La fourmi Myrmecia croslandi est une espèce endémique d’Australie qui pourrait servir de modèle pour étudier la division cellulaire. Elle valait bien une belle expédition !
Les alertes se multiplient sur l’état des océans. Comment les sciences océaniques, entre diversité, coopération et ouverture, posent-elles les premiers jalons d’un océan bien commun ?
Depuis 2016, des scientifiques embarqués à bord de la goélette Tara sillonnent le Pacifique pour surveiller l’état des récifs coralliens gravement menacés par le réchauffement climatique.
Le chercheur britannique Tim Spector, professeur en épidémiologie génétique du microbiote, raconte comment son expérience parmi les Hadza, en Tanzanie, a changé sa flore intestinale.
En 1826, on découvrit des objets venus d’Europe à Tikopia, dans les îles Salomon : venaient-ils de l’Astrolabe et de la Boussole, les navires disparus de La Pérouse ?
Enseignant-chercheur en systématique animale à l'ISYEB (MNHN) et à l'Université Technique de Braunschweig., Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)