La pandémie a permis à la Corée du Sud de rééquilibrer sa relation avec les États-Unis et renforcé la dépendance politico-économique de la Corée du Nord vis-à-vis de la Chine.
Déchargement d'un avion transportant du matériel médical chinois le 13 mars à l'aéroport international de Rome Fiumicino.
Stringer/Ansa/AFP
La Chine profite de la crise sanitaire pour avancer ses pions en Europe. Mais ses efforts pourraient bien avoir l’effet contraire à celui espéré à Pékin…
L'instabilité des relations commerciales sino-américaines pèse de plus en plus sur les chaînes d'approvisionnement en matériel médical.
Brendan Smialowski / AFP
Malgré la trêve négociée avec la Chine, les États-Unis souffrent de difficultés d’approvisionnement en matériel médical. Cette situation risque d’accentuer les tensions.
Désinfection du sanctuaire de Masumeh à Qom le 25 février 2020.
Mehdi Marizad/Fars News Agency/AFP
L’Iran est l’un des pays les plus sévèrement frappés par l’épidémie de Covid-19, en bonne partie à cause des dissensions internes qui opposent le gouvernement aux religieux.
La politique française vis-à-vis du monde arabe se caractérise par une grande inconséquence. On l’a notamment vu à la lumière de l’attitude de Paris sur le dossier syrien.
Le représentant spécial des États-Unis en Afghanistan, Zalmay Khalilzad, et le cofondateur des talibans, le mollah Abdul Ghani Baradar, signent l'accord de paix lors d'une cérémonie dans la capitale qatarie, Doha, le 29 février 2020.
Giuseppe Cacace/AFP
Jean-Luc Racine, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Le 29 février, un accord supposément historique a été signé entre les États-Unis et les talibans. Pour autant, la paix en Afghanistan est encore loin d’être assurée…
Le pétrole s'échangeait à 33 dollars le baril le 9 mars, un niveau inobservé depuis 2016.
STR / AFP
La chute actuelle des cours de l’or noir s’explique par une conjonction de facteurs sur un marché à l’équilibre déjà précaire.
Le président russe Vladimir Poutine s'entretient avec son homologue iranien Hassan Rohani lors d'une réunion du Conseil économique suprême de l'Union eurasiatique, à Erevan, le 1er octobre 2019.
Alexei Druzhinin/Sputnik/AFP
Didier Chaudet, Institut français d'études sur l'Asie centrale
La Russie profite de la recrudescence des sentiments anti-américains au Proche-Orient après l’assassinat de Ghassem Soleimani. Mais elle n’aurait rien à gagner à une déstabilisation majeure de la région.
Le monde : Possessions coloniales et routes commerciales, 1910.
University of Texas
Depuis la création du terme « géopolitique » en 1897 par le juriste suédois Rudolf Kjellén, les débats font rage sur sa nature : s’agit-il, ou non, d’une science humaine ?
Rencontre entre Kim Jong-un et Donald Trump sur la ligne de démarcation entre les deux Corées, 30 juin 2019.
Brendan Smialowski/AFP
Le discours de fin d’année de Kim Jong‑un a suscité l’émoi : s’achemine-t-on vers une nouvelle crise entre Pyongyang et Washington ? En réalité, les deux parties semblent condamnées à s’entendre.
Paysage imaginaire d'une ville dévastée.
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L’assassinat par les États-Unis du général Soleimani va-t-il, comme l’affirme Donald Trump, empêcher la détérioration du conflit américano-iranien ? Il est permis d’en douter…
Photo prise fin 2017 à l'exposition « Super Poutine » organisée au musée d'art contemporain de Moscou Moscou.
Lukas Aubin
Lukas Aubin, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
La suspension de la Russie de toutes les compétitions sportives internationales ordonnée par l’Agence mondiale anti-dopage est une décision qui dépasse largement les seuls enjeux sportifs.
Le brise-glace canadien Louis Saint-Laurent, photographié dans les eaux du territoire de Nanavut, Canada, 9 novembre 2016.
Fiona Paton/flickr
L’Arctique doit être pensé comme un objet géopolitique ou, plus précisément, étant donné les contingences spécifiques liées à son climat, « cryogéopolitique ».
Donald Trump au sommet de l'Otan de Bruxelles, le 12 juillet 2018.
Brendan Smialowski/AFP
Donald Trump n’a eu de cesse, depuis son arrivée à la Maison Blanche, de critiquer l’OTAN, qu’il juge inefficace, obsolète et onéreuse. La fin de l’Alliance est-elle imminente ? Ce n’est pas certain.
Vladimir Poutine participe à un débat public dans le cadre de la Journée de l'Intelligence artificielle à Moscou, le 9 novembre 2019.
Aleksey Nikolskyi/Sputnik/AFP
Le décret président adopté le 9 octobre 2019 fixe les objectifs de la Russie en matière d'intelligence artificielle. Un programme d'une grande ambition, notamment dans le domaine militaire.
On dénombre aujourd'hui 78 fonds souverains dans le monde.
Florian Wehde/Unsplash
Stabilité, lutte contre la corruption… au-delà des enjeux d’influence, de multiples raisons poussent les États à créer des institutions pour piloter leurs investissements à l’étranger.
La Ratification du traité de Münster, Gerard Terboch, 1648.
Wikipedia
Les tenants du « réalisme » et de la « stabilité » se réclament volontiers de l’histoire et des « intérêts éternels des grands États ». Autant de prétendues évidences qu’il convient de remettre en cause.