Amazon a récemment été condamnée par la Cnil pour une surveillance trop intrusive de ses salariés : comment les gérants des entreprises peuvent-ils répondre à cette problématique ?
Le roi des gaffes, dont les nouvelles planches rencontrent un véritable succès, est-il vraiment nuisible au travail ? Les entreprises n’auraient-elles pas plutôt besoin de ce profil farfelu ?
Beaucoup d’artisans exercent par passion et n’ont pas en tête des fondamentaux de gestion par manque de formation. Ils se mettent ainsi parfois dans le rouge en fixant des prix « à la louche ».
Des managers omnipotents, qui ont réponse à tout et qui font des montagnes d’une taupinière ne contribuent-ils pas au désenchantement des jeunes diplômés qui découvrent la vie professionnelle ?
Les évolutions règlementaires de ces 20 dernières années en termes de financement ont plongé les établissements d’enseignement supérieur et de recherche dans la difficulté.
Une expérimentation identifie les conditions dans lesquelles un témoin d’un dénigrement se retourne contre qui son auteur, au risque d’instaurer un climat négatif au travail.
Un ouvrage préconise d’adapter le contrôle de gestion de l’État en adoptant une lecture « hybride » qui tiendrait compte de paramètres différents de ceux utilisés dans le secteur privé.
Le projet de loi 23 remet à l’ordre du jour le débat sur l’importance à accorder aux données probantes en éducation. Mais est-ce la meilleure méthode pour avoir un portrait juste d’une situation ?
Pour ramener l’incertitude à un niveau psychologiquement acceptable pour les individus, les organisations mettent souvent en place des dispositifs individuels. Mais est-ce bien la bonne échelle ?
Champs de bataille et marchés, l’incertitude plane sur ces deux environnements en constante évolution. L’armée l’a sans doute intégré depuis plus longtemps que les entreprises.
L’humour permet d’augmenter l’estime de soi et de ne pas tomber dans la résignation devant les difficultés. Ce principe s’applique cependant davantage aux employés qu’aux managers.
Les monnaies virtuelles comme celles utilisées dans le célèbre jeu de football apparaissent porteuses d’apprentissages, qu’il convient de mieux reconnaître et intégrer.
Cette démarche permet l’acquisition de nouvelles compétences adaptées au travail réel dans chaque entreprise, pour un résultat qui a l’avantage d’être mesurable.
Les organisations qui cherchent à autonomiser leurs équipes restent contraintes d’orienter les comportements dans le sens de l’accomplissement des objectifs fixés.
Les modes de travail hybrides peuvent satisfaire les employés. Mais leurs besoins d’autonomie, de relations et de se sentir compétents perdurent. Il importe pour les gestionnaires d’en tenir compte.
Classer les salariés en classe d’âge, c’est oublier de considérer les trajectoires individuelles et l’esprit d’équipe qui donnent sens aux tâches du quotidien.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)