Pour augmenter les rendements des céréales en Afrique, la production d’engrais verts à travers la culture de légumineuses est prometteuse. Mais certains obstacles subsistent.
Des études menées dans les écolieux du réseau Oasis ont mesuré le bilan des émissions de gaz à effet de serre et la qualité de vie de ceux qui ont choisi un mode de vie plus sobre.
En situation de sobriété subie, les populations précaires deviennent expertes d’une économie de la débrouille dont les vertus écologiques sont nombreuses.
Dans son essai « Bifurcations », le sociologue et économiste Pierre Veltz distingue dans cette notion relativement floue des dimensions individuelles, systémiques et structurelles.
Dans de nombreux cas, la philanthropie sert aux entreprises à « réparer », dans des conditions qu’ils définissent eux-mêmes, les dégâts qu’ils causent par ailleurs.
Si la déconnexion des individus vis-à-vis des espaces naturels et des espèces animales s’intensifie, des pistes existent pour renouer avec le non-humain.
Des contenants de remplacement, comme les bioplastiques, sont promus pour réduire l’exposition alimentaire au plastique. Mais les connaissances sur le sujet font défaut.
En 1987, le Protocole de Montréal établissait l’interdiction des substances responsables de la destruction de la couche d’ozone, indispensable pour protéger du rayonnement solaire.