Les injections massives de liquidité ne déboucheront pas sur une résurgence de l’inflation mais sur une baisse durable de la croissance et un creusement des inégalités.
Le bilan de la banque centrale européenne atteint désormais 50 % du PIB de la zone euro.
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Une telle décision, juridiquement impossible avec les textes actuels, inciterait notamment les États à adopter des politiques budgétaires laxistes.
La banque centrale européenne, en charge de la politique monétaire de la zone euro, a pour objectif principal de maintenir le pouvoir d'achat et donc la stabilité des prix.
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Thomas Melonio, Agence française de développement (AFD); Antoine Godin, Agence française de développement (AFD), and Étienne Espagne, Agence française de développement (AFD)
Face au chaos économique qui s’annonce du fait de la crise du Covid-19, les banques centrales sont appelées à jouer un rôle majeur.
Nous assistons actuellement à un choc d'offre dû à un facteur exogène et non à une crise de la demande.
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Thierry Kellner, Université Libre de Bruxelles (ULB) and Mohammad Reza Djalili, Institut des hautes études internationales et de développement de Genève
Les législatives iraniennes du 21 février ne changeront rien à la situation catastrophique d’un pays isolé, économiquement sinistré et en proie à une contestation intérieure massive.
Les gouvernements successifs ont toujours ignoré les avertissements des économistes.
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Pourquoi quitter une zone stable, qui permet d’avoir une croissance économique soutenue avoisinant les 7 %, au moment où l’Afrique affiche son taux de croissance le plus faible depuis 25 ans (1,6 %) ?
Des étudiants mobilisés à l'université d'Alger contre Abdelaziz Bouteflika, 81 ans, dont la santé s'est récemment aggravée.
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Ce mouvement est-il un épiphénomène lié à la colère contre l’arrogance du pouvoir ou correspond-il à une réplique dans un contexte économique et social plus fragile que lors des « printemps arabes » ?
Les chefs de gouvernement qui se sont succédé à la Casa Rosada, le palais présidentiel de Buenos Aires, ont tous échoué à redresser durablement la situation économique argentine.
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À un an de la prochaine élection présidentielle, l’Argentine s’enlise à nouveau dans la crise. L’explication ? Aucune réforme structurelle n’a été mise en place depuis le début des années 1990.
Les grèves internes dans tout le pays pourraient nuire à l'économie au moins autant que les sanctions annoncées (Téhéran, 2017).
Stella Morgana
Le Brésil et l’Argentine ont réussi à sortir de l’hyperinflation dans les années 90. Mais le Venezuela, qui n’a ni réserve en dollars ni confiance des marchés, ne pourra pas suivre la même voie.
Le Venezuela fait le pari d'une cryptomonnaie souveraine pour sortir de la crise, mais reste flou sur son fonctionnement.
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Le petro, un crypto-actif créé par le Venezuela, vise à contourner les sanctions américaines et à stabiliser la situation monétaire du pays. Il est peu probable qu’il atteigne ces objectifs.
Les principales tendances de l’étude annuelle sur l’économie mondiale produite par le CEPII. Pour la première fois depuis la crise de 2008 plusieurs clignotants sont passés au vert. Synthèse.
Manifestation de l'opposition, le 1er mai, à Caracas.
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Alors que l’on s’attend à une hausse des taux d’intérêt, où en est la conjoncture américaine ? Une croissance fragile et une économie profondément transformée rendent délicates les anticipations.
Inflation zéro, taux d’intérêt zéro… et croissance zéro. La situation actuelle qui remet en cause les indicateurs habituels, annonce-t-elle un changement de modèle ?
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)