Les couches des petits sont décidément pleines de mystères… Des chercheurs viennent en effet d’y découvrir des milliers de virus dont beaucoup sont inconnus. Décryptage d’une étude pas si inquiétante.
Les nombreux symptômes du syndrome du colon irritable comprennent des douleurs abdominales, des ballonnements, de la constipation, de la diarrhée et des modifications du transit intestinal.
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Et si le syndrome du côlon irritable avait pour origine une mauvaise adaptation du corps à la force de gravité ? Si elle était confirmée, cette explication changerait la façon dont nous le traitons.
Il n'existe pas d'aliments miracles qui guérissent ou préviennent le cancer. Mais une saine alimentation contribue à un meilleur diagnostic.
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Saioa Gómez Zorita, Universidad del País Vasco / Euskal Herriko Unibertsitatea; Maitane González Arceo, Universidad del País Vasco / Euskal Herriko Unibertsitatea, and María Puy Portillo, Universidad del País Vasco / Euskal Herriko Unibertsitatea
L’alimentation ne guérit pas le cancer, mais elle en améliore le pronostic et contribue à sa prévention.
Certains facteurs peuvent perturber le microbiote intestinal. On parle notamment de notre alimentation, de notre consommation d’alcool, de la prise d’antibiotiques et des maladies inflammatoires de l’intestin.
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Une nouvelle étude démontre que le microbiote intestinal n’aurait que peu ou même pas d’effet sur notre poids, notre métabolisme et notre risque de développer des maladies chroniques.
La greffe de matières fécales consiste ni plus ni moins à remplacer le microbiote intestinal d'un receveur malade par du matériel fécal provenant d'un donneur sain.
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Cerveau et intestin sont bien plus liés qu’on ne croit souvent. Le stress peut ainsi provoquer un déséquilibre du microbiote, qui peut à son tour jouer un rôle sur la dépression…
Le microbiote intestinal, avec ses milliards de microorganismes, a de nombreux effets sur notre santé - bénéfique et négatif.
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Le fameux microbiote intestinal est aujourd'hui une star… Mais une star finalement méconnue ! Qui est-il, que fait-il et surtout : comment s'en faire un allié ? Un point sur les recherches en cours.
Une alimentation diversifiée et riche en fruits, légumes et autres sources naturelles de fibres est nécessaire au microbiote intestinal. Et cela contribue à préserver notre santé.
Dans un gramme de yaourt, on dénombre quelque 10 millions de probiotiques, ces micro-organismes qui vont coloniser notre intestin.
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Le lait frais fermenté va enrichir le microbiote intestinal, améliorant ainsi nos capacités digestives, immunitaires et même neurologiques.
Nous avons demandé à la moitié des participants de manger plus de légumes, de légumineuses, de fruits, de noix, d’huile d’olive et de poisson - et moins de viande rouge et de produits laitiers.
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Nos recherches ont montré que le fait de suivre un régime méditerranéen était lié à moins de fragilité et d'inflammation et au maintien d'une meilleure fonction cognitive.
La compréhension du microbiome humain mènera à des percées dans le domaine des soins de santé, y compris le traitement de maladies comme le syndrome du côlon irritable.
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Le microbiome est composé de virus, bactéries et champignons vivant en colonies à l'intérieur de notre corps. Sa compréhension mènera à des percées dans les soins de santé et de bien-être.
Il n'y a pas une seule façon de manger, ni un régime qui fonctionne pour tout le monde, malgré ce qu'on vous répète.
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Pieter Vancamp, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Notre corps est capable de réguler sa température de façon très efficace, mais les épisodes de canicule peuvent mettre à mal certains organes si l’on n’y prend pas garde…
Leurs intestins s'apprêtent à digérer:
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Saviez-vous que nous avons, non pas un cerveau, mais deux ? Et ce dernier nous sert à manger.
Images en microscopie électronique à balayage de la bactérie Lactobacillus paracasei, qui est utilisé dans de nombreux probiotiques (fausses couleurs).
Dr. Horst Neve / Max Rubner-Institut
Lito Papanicolas, South Australian Health & Medical Research Institute and Geraint Rogers, South Australian Health & Medical Research Institute
En cas de traitement antibiotique, la prise de probiotiques peut protéger des effets secondaires désagréables. Mais elle risque aussi de retarder le retour à la normale du microbiote intestinal.
Dans l'intestin, les bactéries Lactobacillus reuteri sont influencées par la génétique de l'hôte, et l'influencent en retour.
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Voici l’histoire étonnante d’un dialogue symbiotique étroit et insoupçonné entre le petit monde du microbiote intestinal et son hôte, porteur de mutations génétiques associées à l’autisme.
Quelques cent mille milliards de bactéries peuplent notre tube digestif.
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Les bactéries qui composent la flore de nos intestins font l’objet de nombreuses découvertes scientifiques. On leur attribue beaucoup de vertus. Trop ?
La communauté microbienne présente dans notre nez pourrait-elle influencer nos choix alimentaires ?
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Selon le type de microbes présents dans notre nez, nous n’apprécions pas les mêmes odeurs. Ceux-ci pourraient donc jouer un rôle dans nos choix alimentaires.
Les occasions de contact avec des bactéries résistantes aux traitements classiques sont plus fréquentes qu’on le croit. Certains antibiotiques doivent donc être réservés à ces seuls cas.
Neuroscientist (PhD) and ethicist (2nd PhD in progress), Researcher and Scientific R&D project manager in research ethics and in neuroethics / neurotechnologies., Université Paris-Saclay