Elisa Chelle, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Alors que la candidate démocrate fait campagne au centre pour rassembler les modérés, son adversaire républicain, lui, vise à mobiliser au maximum l’électorat conservateur et les abstentionnistes.
Olivier Burtin, Université de Picardie Jules Verne (UPJV)
Choix de colistier discutable, difficulté à séduire l’ensemble du camp républicain, atermoiements sur la question de l’avortement… La fin de campagne de Donald Trump apparaît pénible.
Le colistier de Donald Trump est la figure de proue des nationaux-conservateurs, une mouvance dont la vision du monde diffère nettement de celle traditionnellement promue par le Parti républicain.
Si Donald Trump était élu en novembre prochain, J. D. Vance deviendrait vice-président, et ses opinions en matière de politique étrangère pourraient peser sur les affaires internationales.
Donald Trump continue certes de peser sur la vie du Parti républicain, mais il n’a pas influencé les primaires du parti autant qu’il le prétend, loin de là.