Le rôle central que Kamala Harris, vice-présidente des États-Unis depuis cent jours, joue dans l’administration Biden montre que sa nomination ne se limite absolument pas à sa dimension symbolique.
De Kamala Harris à Bernie Sanders, des voix se sont élevées durant la campagne pour un système de santé plus universel. Qu’attendre de l’administration Biden ?
L’usage immodéré du « filibuster », outil d’obstruction parlementaire, rend le Congrès américain inefficace. Est-ce, comme certains démocrates le craignent, l’un des obstacles majeurs face à Joe Biden ?
L’analyse textuelle du discours d’investiture de Joe Biden révèle les principaux axes de sa communication à venir, qui sera marquée par une nette rupture avec celle de son prédécesseur.
Le bannissement de Donald Trump des principaux réseaux sociaux pose de nombreuses questions, à commencer par celle de la responsabilité qu’ont les plates-formes dans les contenus qu’elles hébergent.
On lit souvent que la capacité de Joe Biden à gouverner dépendra de l’issue de la double élection à venir en Géorgie, qui déterminera la couleur politique du Sénat. La réalité est plus nuancée.
Avant Kamala Harris, d’autres femmes de couleur se sont portées candidates aux plus hautes fonctions aux États-Unis. Coup de projecteur sur les plus remarquables de ces pionnières.
Les femmes occupent de plus en plus de postes de direction à haute visibilité. Cela reflète leur capacité à gérer efficacement, comme l’ont démontré Chrystia Freeland et Kamala Harris.
Les résultats d’une enquête récente montrent que la participation électorale des Noirs américains de moins de 30 ans aura un rôle déterminant dans la présidentielle américaine.
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School