Diana Cooper-Richet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
De nombreux mineurs, en Chine, en Inde mais aussi aux États-Unis, connaissent aujourd’hui des conditions de travail proches de celles décrites dans les romans de Zola ou de George Sand.
Le 20 janvier 2018 lors d’une manifestation à Jerada (Maroc) après la mort de deux jeunes hommes dans une mine de charbon abandonnée.
Fadel Senna/AFP
Diana Cooper-Richet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Exploitation contestée ou clandestine, pollution environnementale, mécanisation, risques sanitaires : dans de nombreux pays, le charbon se trouve au cœur de nombreuses polémiques.
Dans la ville de Welch, en Virginie-Occidentale, berceau historique du charbon aux États-Unis.
Spencer Platt/AFP
Outre-Atlantique, la mise en place de la co-combustion dans les centrales a charbon fait son chemin. Mais les bénéfices de ce développement ne peuvent s’envisager qu’à court terme.
À la COP23, des membres du réseau America’s Pledge qui réunit des acteurs engagés dans la lutte contre le changement climatique aux États-Unis.
Patrik Stollarz/AFP
Malgré la volonté de Washington de sortir de l’Accord de Paris, plusieurs États américains se mobilisent pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
Le 6 novembre 2017, dans le parc Rheinaue de Bonn, ville hôte de la COP23.
Patrik Stollarz/AFP
Problème global, le changement climatique nécessite une coopération de tous les États. C’est ce qui rend la lutte en ce domaine si ardue, comme l’illustrent les discussions de la COP23 à Bonn.
Le 8 juillet 2017, Donald Trump quittant sur le Sommet du G20.
Saul Loeb/AFP
Réunis fin mai à Vienne, les membres de l’OPEP ont tenté à nouveau de soutenir les prix du pétrole. Mais l’offre américaine et une situation géopolitique mondiale confuse compliquent ces efforts.
« Promesses faites, promesses tenues » peut-on lire sur cette pancarte brandie le 3 juin 2017 à Washington par un partisan de Trump après l’annonce du retrait des États-Unis de l’Accord de Paris.
Saul Loeb/AFP
Du « Sommet de la Terre » à Rio en 1997 au récent retrait de l’Accord de Paris en juin 2017, Washington a toujours traité les négociations climatiques sous l’angle économique.
Manifestation à New York le 1er juin après l’annonce du retrait de l’Accord de Paris par Donald Trump.
Jewel amad/AFP
Si le recul de l’Amérique de Trump en matière de lutte contre le changement climatique envoie un mauvais signal, ses conséquences ne sont peut-être pas aussi néfastes qu’il y paraît.
Manifestation contre la politique climatique de Trump dénonçant les liens entre la Maison Blanche et l’industrie pétrolière, le 9 mai 2017 à New York.
Timothy A. Clary/AFP
Le retrait de Washington du traité qui fixe la gouvernance climatique mondiale constitue une nouvelle étape du détricotage des années Obama.
Des mineurs de Pennsylvanie le 13 avril dernier lors d’une visite de Scott Pruit, le nouveau patron de l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA).
Justin Merriman/Getty Images North America/AFP
Depuis son arrivée au pouvoir, l’administration Trump se distingue par une politique de dérégulation qui remet en cause le rôle des États-Unis dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Des chercheurs de l’Université de Miami étudiant les effets du réchauffement climatique sur le corail en avril 2016.
Joe Raedle/AFP
La « Marche pour les sciences » qui aura lieu aussi en France demain est l’occasion de rappeler qu’en travaillant à l’avancée des connaissances les scientifiques aident les citoyens.
Le 28 mars dernier, le président américain signant un décret favorable aux énergies fossiles… dans les bureaux de l’Agence de protection de l’environnement.
Jim Watson/AFP
Marie-Cécile Naves, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
En détricotant les initiatives environnementales de la précédente administration Obama, le président Trump tente de restaurer l’image d’une Amérique virile indifférente aux critiques.
Le prince saoudien Mohammed ben Salmane et le président chinois Jinping, en septembre 2016 à l’occasion du G20.
Greg Baker/AFP
C’était l’une des promesses du candidat Trump : relancer la production dans les mines de charbon pour enrayer la désindustrialisation et créer des emplois. Un programme aussi ambitieux qu’irréaliste.
Trump abrogeant, le 14 février dernier, une loi anti-pots-de-vin visant les compagnies minières et pétrolières américaines.
Saul Loeb/AFP
Le programme énergétique du nouveau locataire de la Maison-Blanche passe par le développement des énergies fossiles. Décryptage de la stratégie pétrolière de Trump.
Manifestation à Londres devant l’ambassade des États-Unis pour dénoncer les positions de Trump sur le climat, le 18 novembre 2016.
Daniel Leal-Olivas/AFP
Nominations controversées, relance du charbon et fin possible du soutien américain à la gouvernance climatique mondiale… Avec Trump, les mauvaises nouvelles s’accumulent pour l’environnement.
Chercheur au Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne