Du Finistère Sud aux côtes Vendéennes, la prolifération nuisible du Lepidodinium chlorophorum inquiète et réclame de mieux comprendre les causes et l’ampleur de ce phénomène.
Comprendre le cycle côtier du plastique permettrait de mieux évaluer le volume des déchets présents dans l’eau et sur la plage afin de lutte plus efficacement contre ce phénomène dramatique.
Le jeu LittoSIM sensibilise les décideurs des collectivités territoriales soumises au risque de submersion. Il montre la capacité des décideurs à envisager différemment l’anthropisation du littoral.
Face à la montée des eaux, deux options s’offrent à nous. Protéger les activités anthropiques en renforçant les digues tant que cela est possible, ou redonner peu à peu sa place à la nature.
Une équipe pluridisciplinaire de chercheurs a étudié la réaction des habitants de deux communes du Pas-de-Calais face à l’érosion du littoral qui menace leurs lieux d’habitation.
La mer monte, et nous dressons des digues qui repoussent le problème sans le résoudre. Des solutions d’adaptation fondées sur la nature existent pourtant dans les marais littoraux.
Si d’impressionnants reculs ont eu lieu en Normandie cet été, ce phénomène est néanmoins nécessaire au renforcement du cordon littoral qui protège les côtes.
La lutte contre les effets de la montée des eaux est souvent entravée par les actions des gouvernements, des propriétaires côtiers et même des partisans de l’adaptation au changement climatique.
socio-anthropologue, chercheuse post-doc à L'Observatoire des publics et pratiques de la culture, MESOPOLHIS UMR 7064, Sciences Po / CNRS / Aix-Marseille Université, Aix-Marseille Université (AMU)