Les conséquences des traumas subits dans l’enfance peuvent persister durant toute l’existence, voire se transmettre à la descendance. Heureusement, il est possible de stimuler la résilience des victimes.
Les réseaux sociaux donnent l’impression que les narcissiques sont partout… De fait nous le sommes tous un peu. Mais où est la frontière entre normal et pathologique ? Comment gérer un vrai narcissique ?
La logique d’optimisation des coûts exercée par l’opérateur privé de maisons de retraite a conduit à un découplage entre réalités internes du travail et affichage externe.
Un nouveau scandale frappe le secteur de la prise en charge des personnes âgées. Une fois de plus se posent les questions des moyens alloués et de notre attitude face à ces aînés trop invisibilisés.
Anne Levesque, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Le soutien public sera plus que jamais nécessaire pour s’assurer que l’esprit de l’accord est respecté et se traduit par des changements significatifs pour les enfants des Premières Nations.
Les traumatismes marquent l’ADN. Ces modifications « épigénétiques », transmissibles à la descendance, changent l’activité de certains gènes. Elles pourraient prédisposer à certaines affections.
Le stress augmente chez l’adulte le risque de maladies cardiovasculaires. Mais qu’en est-il des expériences négatives de l’enfance ? Peuvent-elles favoriser l’infarctus du myocarde à l’âge adulte ?
Au-delà des effets sur le développement psychique, les souffrances de l’enfance semblent associées à bon nombre de troubles métaboliques et de maladies chroniques de l’adulte.
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)