La controversée série Goop Lab, bientôt sur Netflix, permettra à Gwyneth Paltrow de consolider la marque Goop, dont la valeur est estimée à 250 millions de dollars US.
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Les données empiriques sur l’utilisation du « tsontso » ont montré que cette plante malgache est plus efficace que les médicaments anti-inflammatoires. Qui plus est, elle n’a pas d’effet secondaire.
La bataille de l’homéopathie fait rage : ses partisans veulent s’opposer au déremboursement de ces granules populaires mais dont l’efficacité n’a jamais été établie. Retour historique et politique.
De la vitamine C jusqu'au bouillon de poulet en passant par les probiotiques, divers aliments ou compléments sont supposés soigner le rhume ou aider à le combattre. Qu'en dit la science ?
La thérapie cognitive et comportementale est couramment proposée en cas de maladie chronique. De même l’activité physique adaptée. Les deux ont des effets prouvés contre l’anxiété ou la dépression.
A l’approche des épreuves du mois de juin, n’importe quel adolescent peut se retrouver en état de panique. Des mesures simples permettent de ne pas se laisser déborder par l’anxiété.
Un médicament ne contenant aucun principe actif peut malgré tout réduire les symptômes d’une maladie. Mais cette démonstration n’a pas encore été faite pour l’homéopathie.
Il existe des preuves scientifiques fiables par lesquels le yoga pourrait aider les individus souffrant de troubles mentaux.
Il est difficile de vivre, au quotidien, avec un niveau élevé de peur. Si les médicaments ne sont pas la meilleure façon de surmonter l’anxiété ou les phobies, ils peuvent cependant jouer leur rôle.
De nombreuses études scientifiques permettent d’affirmer aujourd’hui que l’activité physique réduit les effets secondaires des traitements contre le cancer et renforce l’effet de certains.
Les études scientifiques montrent que toutes les méthodes pour se soigner sans médicament ne se valent pas. Les chercheurs s’attachent à les évaluer et même, à les comparer entre elles.
La campagne nationale contre le mal de dos incite à ne pas rester inactif pour en guérir. Mais tous les mouvements ne se valent pas. Revue des méthodes validées par des études scientifiques.
Contrairement à ce que leur nom indique, les « magnétiseurs » ne travaillent pas avec les champs magnétiques. Analyse critique.
Dans une époque où on peut commander des jeans adaptés à sa morphologie, il est temps de personnaliser davantage les soins. Ce serait bénéfique pour les patients, mais aussi pour le système de santé.
Vous avez dit hypnose ? Cet état de « transe » imposé permet d’obtenir d’un sujet qu’il se conforme aux suggestions, indépendamment de leur véracité (par exemple, pour atténuer la douleur).
Les patients peuvent désormais déclarer les effets indésirables causés par leur traitement sur un site du ministère de la Santé. Ils n'ont pas attendu cette initiative pour se montrer vigilants.
La ministre de la Santé s'apprête à supprimer le remboursement des traitements contre Alzheimer. Ils ont peu d’impact sur l’évolution de la maladie et des effets indésirables fréquents.
L’action des petites granules en tube repose davantage sur la croyance que sur la science. Cela leur confère une efficacité qui est, elle, bien réelle.
Grâce aux espaces verts thérapeutiques, des malades d’Alzheimer réussissent à mémoriser de nouvelles informations et à les restituer. Revue des expériences menées au CHRU de Nancy.
Top contributors
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Professeur en santé, psychologie et sciences du sport, Université de Montpellier
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Professeur de pharmacie, Université Paris Cité
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Laureate Professor in Nutrition and Dietetics, University of Newcastle
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Maître de conférences en pharmacie industrielle et cosmétologie, Université de Nantes, Auteurs historiques The Conversation France
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Professeur en galénique et cosmétologie, Université de Nantes, Auteurs historiques The Conversation France
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Maître de Conférences en Sciences Cognitives, UMR CNRS 7260, Aix-Marseille Université (AMU)
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Professeur de psychiatrie, Inserm, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
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Professeur des universités, Université de Lorraine
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Professeur en psychologie sociale, Université de Lorraine
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Anthropologue, directrice de recherche Inserm, TEPSIS
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Ingénieur de recherche, Université de Lille
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Médecin de santé publique, professeur de management, École des hautes études en santé publique (EHESP)
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Maître de conférences, sciences de gestion, École des hautes études en santé publique (EHESP)
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Canada Research Chair in Health Law and Policy; Professor, Faculty of Law and School of Public Health; and Research Director, Health Law Institute, University of Alberta
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Professeur, Université du Québec à Montréal (UQAM)
