Des miliciens rejoignent les forces de sécurité afghanes lors d'un rassemblement à Kaboul, le mois dernier. Ensemble, ils tentent d'endiguer la progression inexorable des talibans sur le territoire national.
Rahmat Gul/AP
Le sentiment que les talibans pourraient reprendre le contrôle à l’aune du retrait des forces américaines fait craindre une vague de défections dans le gouvernement et l’armée.
Un soldat de l'armée burkinabè en patrouille dans la région du Soum, dans le nord du Burkina Faso, le 12 novembre 2019.
Michele Cattani/AFP
Dans le Nord et dans l’est du Burkina Faso, l’inaction du pouvoir a créé un vide dans lequel se sont engouffrés les djihadistes. La réponse sécuritaire doit se doubler d’une volonté de négociation.
Un soldat kurde à la frontière syrienne. Que ce soit en Libye ou en Syrie, les guerres civiles les plus complexes à l’heure actuelle sont celles qui ont été progressivement internationalisées.
Kurdishstruggle/flickr
Une guerre civile localisée, qui démarre souvent en raison d’injustices et de corruption, s’internationalise lorsque chaque partie est soutenue à différents degrés par des États étrangers.
Plus de 250 000 personnes ont été contraintes à l'exil en raison des violences dans l'Est de la RDC.
United Nations/Flickr
Wolfram Lacher, German Institute for International and Security Affairs
Pourquoi Khalifa Haftar et les gouvernements occidentaux se sont trompés sur la réaction que la tentative de prise de Tripoli allait susciter dans l’ouest du pays.
Un soldat tanzanien de la force de l'ONU déployée en Centrafrique, en juillet 2018 (ici près de la localité de Gamboula).
Florent Vergnes/AFP
Face à la complexité de la situation en Centrafrique, le système onusien persiste dans des éléments de langage et des pratiques qui relèvent très largement du déni de réalité.
Peinture à l'effigie de Marielle Franco, représentée en Wonder Woman, à Rio de Janeiro, le 18 mars 2018.
Mauro Pimentel/AFP
Armelle Enders, Université Paris 8 – Vincennes Saint-Denis
La mort de Marielle Franco marque une gradation dans la haine et le racisme qui s’expriment de plus en plus ouvertement dans l’espace public au Brésil.
Hasan Nasrallah durant une allocution télévisée à Baalbek, au Liban le 31 aoput 2017.
AFP
Le Hezbollah est devenu incontournable au Liban et au-delà. Comment ce parti, tiraillé entre une base populaire, des velléités néolibérales et un Iran interventionniste se dessine-t-il dans la région ?
Rouhani et Poutine en Chine, en 2014.
Kremlin/Wikimedia
Clément Therme, École des hautes études en sciences sociales (EHESS)
Les stratèges occidentaux, notamment les néoconservateurs, estiment qu’il leur est possible de briser l’entente militaire irano-russe en Syrie. Mais celle-ci n’est pas que de circonstance.
Réouverture de l'ambassade d'Italie à Tripoli, le 10 janvier 2017.
Mahmud Turkia/AFP
Les signataires de l’Accord dans leur majorité n’ont engagé qu’eux-mêmes et en aucune manière les groupes influents en Libye. Il est impératif de refonder cet accord en incluant d’autres acteurs.
Un véhicule de miliciens dans les faubourgs de Kunduz, en octobre 2016.
Bahsir Khan Safi/AFP
L’élection de Trump pourrait entraîner une remise en question des opérations menées en Irak et en Afghanistan. Dans ce pays, qu’en est-il des milices, quinze ans après le début de l’intervention ?
Le siège de la Banque centrale du Liban, à Beyrouth.
Karan Jain/Wikimedia
Durant la guerre civile, les hauts fonctionnaires comme les milices ont veillé à maintenir un fonctionnement minimal de l’État. Une situation éloignée du quotidien actuel au Yémen ou en Syrie