Les causes des violences à l’encontre des animaux sont souvent classées en deux catégories : les perturbations psychologiques individuelles et les normes culturelles.
Les jeunes filles parties en vacances dans le pays d’origine de leurs parents courent un risque de mutilations sexuelles, si celles-ci y sont pratiquées. Une campagne vise à mieux les informer.
Les déformations crâniennes portent en elles les stigmates de sociétés dites « peu évoluées » ; en réalité, il s’agit d’une pratique universelle dont la connotation spirituelle est indéniable.
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)