Vous ne vous souvenez pas d’où vous avez mis vos clefs ? C’est normal, vous ne faites pas un début d’Alzheimer. Mais alors, comment savoir quand l’oubli est vraiment inquiétant ?
Différentes zones du cerveau sont impliquées dans l’extase sensorielle qui caractérise l’orgasme. Certaines sont activées, d’autres inactivées, comme les instruments d’un orchestre.
C. elegans a beau être minuscule, c’est une star des laboratoires. En modélisant son système nerveux, les scientifiques veulent en apprendre plus sur les mécanismes qui fondent nos comportements.
Les émotions que nous ressentons en lisant et qui ressurgissent lorsque nous repensons à nos lectures témoignent d’une relation forte entre la vie réelle et la littérature.
Les contraceptifs oraux modifient le cycle menstruel ; ce qu’on sait peut-être moins, c’est qu’ils accèdent aussi au cerveau, notamment dans les régions importantes pour la régulation des émotions.
Observer comment les humains utilisent des outils qu’ils n’ont jamais vus permet d’apprendre aux robots à faire la même chose. Entre neurosciences et robotique.
Les rêves font fonctionner notre cerveau. Ils nettoient les pensées des événements de la journée. Ils peuvent même nous aider à imaginer ce qui est possible pendant nos heures de veille.
La musicothérapie connaît un regain d’intérêt. Nos recherches visent à déterminer quelles parties du cerveau sont affectées par différents types de musique.
Accéder aux rêves des autres, un fantasme de science-fiction ? Pas si sûr : des scientifiques sont récemment parvenus à communiquer avec des dormeurs. Un pas de plus vers l’obtention de la clé des songes…
À Montréal se trouve l’une des plus importantes banques de cerveaux au monde, la Banque de cerveaux Douglas-Bell Canada. Elle permet des découvertes sur différentes maladies neurologiques et psychiatriques.
Dans divers troubles de santé mentale, la confiance en soi est altérée. Pour pouvoir la restaurer plus efficacement et proposer des traitements plus adaptés, il faut d’abord en comprendre les mécanismes.
S’il semble facile de comprendre une phrase à l’écrit, comment notre cerveau peut-il décortiquer les informations à l’oral ? Un nouveau modèle permet de mieux expliquer ce phénomène.
La créativité est souvent considérée comme un phénomène spontané et inconscient. Cette perspective contraste avec les recherches contemporaines en psychologie cognitive et en neurosciences.
L’IA permet-elle de modéliser certaines pathologies neurologiques ? La question peut se poser pour l’épilepsie, où le cerveau a une activité excessive… Quelles sont les limites aux comparaisons ?
Le rythme est un élément fondamental de notre vie. Nous découvrons seulement à quel point et comment notre cerveau réussit à le percevoir et à l’utiliser pour guider le moindre de nos mouvements…
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)