Mignon, cute ou kawaii, autant de termes rentrés dans la culture populaire, pour s’attendrir devant ces petites choses fragiles. Comment le cerveau détecte t-il la mignonnesse ?
Les enfants à haut potentiel intellectuels (EHP) interrogent et constituent un défi éducatif et social à la fois pour les chercheurs, les professionnels de la santé, de l’éducation et les parents.
L'imagerie cérébrale est-elle l'outil parfait pour tout comprendre ?
Geralt/Pixabay
Une image est-elle une preuve scientifique irréfutable ? Certains scientifiques pensent pouvoir expliquer tous nos agissements avec l’imagerie médicale. Est-ce sérieux ?
Le président Emmanuel Macron, en visite à l'hôpital de Rouen le 5 avril, veille de l'annonce du plan autisme 2018-2022.
Christophe Ena/AFP
La France lance un nouveau plan pour ce trouble neurodéveloppemental. Mais pourquoi ce pays est-il à la traîne pour diagnostiquer les enfants concernés et leur donner l’éducation nécessaire ?
Pour être efficace : se concentrer sur une seule activité à la fois. Contrairement à ce que certains prétendent, notre cerveau n’est pas une machine multitâche.
Des chercheurs viennent de découvrir de nouvelles zones du cerveau sensibles à la douleur.
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Des chercheurs viennent de découvrir de nouvelles parties du cerveau sensibles à la douleur. Leurs travaux ouvrent de nouvelles pistes dans le traitement de la migraine.
Enfants et adultes, environ 500 000 personnes sont concernées par l'autisme en France.
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Les scientifiques ont identifié plus de 200 gènes associés à l’autisme. Le point sur les causes génétiques, à l’occasion de la journée mondiale de sensibilisation à ce trouble neurodéveloppemental.
La dopamine n’explique pas, à elle seule, notre dépendance aux réseaux sociaux. Les technologies de la persuasion à l’œuvre sur le web font le reste. Mais il y existe un bon usage de la dopamine.
L’idée de tirer parti des sciences pour améliorer l’enseignement est une vieille idée. Mais piloter scientifiquement l’école n’est pas pour demain et ne peut se substituer aux choix politiques.
Durant le sommeil, un « verrou » dans le cerveau nous empêche de réaliser pour de bon les actions que nous effectuons en rêve. Mais chez certains patients, celui-ci ne fonctionne plus.
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Isabelle Arnulf, Institut du Cerveau et de la Moelle épinière (ICM)
Certaines personnes se mettent à mimer leurs actions lorsqu’elles font des cauchemars. Ce trouble, qui peut annoncer une maladie de Parkinson, révèle le contenu de nos songes aux chercheurs.
Les individus atypiques rencontrent des difficultés pour se faire entendre. Objet d’étude scientifique, le fonctionnement de leur cerveau commence pourtant à livrer ses secrets.
Les sciences cognitives ont jusqu’à présent peu infusé les pratiques d’enseignement pour les formations supérieures. Or elles ouvrent sur un apprentissage plus épanoui et plus porteur de créativité.
Et si l’on se passait de sommeil sans que cela nuise à nos capacités cognitives ? Cela paraît fou… L’étude d’une étrange maladie auto-immune pointe pourtant quelques pistes.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)