La cryptographie imprègne nos vies quotidiennes et assure des échanges sûrs sur Internet… mais elle pourrait être remise en jeu par les ordinateurs quantiques.
Des calculs théoriques suggèrent que l’ordinateur quantique pourrait être plus efficace énergétiquement qu’un équivalent classique, à temps de travail égal.
En mesurant un système quantique, il est possible de lui transférer de l’énergie et d’imaginer de nouveaux « moteurs quantiques » capables d’amplifier la lumière d’un laser, par exemple.
La cryptographie actuelle est basée sur le fait que les ordinateurs classiques ne peuvent pas résoudre tous les problèmes. Un paradigme que l’ordinateur quantique pourrait bousculer…
Innovation majeure en cours de développement, l’informatique quantique se base sur des algorithmes et des logiques entièrement différents de l’informatique classique.
Comment les machines comptent-elles le temps qui passe ? Y a-t-il des limites à leur rapidité de calcul ? Dans quelle mesure de tels systèmes acquièrent-ils la notion du temps ?
La nature des anyons, prévue par la théorie, était restée inaccessible jusqu’ici. Cette découverte fait l’objet de la couverture du prestigieux magazine Science.
Cette classification permet de mieux sensibiliser les praticiens aux risques digitaux critiques pour optimiser leurs investissements dans la transformation digitale.
L’essor des ordinateurs quantiques, des milliers de fois plus rapides que les processeurs classiques, pourrait avoir d’immenses répercussions dans les secteurs qui reposent sur l’analyse de données.
Professeur ordinaire à l'Université Libre de Bruxelles et Directeur du Centre for Quantum Information and Communication, Université Libre de Bruxelles (ULB)
directeur de recherche et chef du groupe Quantronique, Institut rayonnement-matière de Saclay) , Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)