Avec l’essor d’Internet, la télévision se consomme aujourd’hui de manière différente, notamment via une délinéarisation des programmes en rupture avec le modèle historique.
En 2020, Médiamétrie a relevé des audiences exceptionnelles et un temps devant la télévision dépassant les 5 heures d’écoute individuelle par jour, contre 4 les années précédentes.
Avec pour mission au départ de répondre au fameux triptyque « informer, éduquer, distraire », le service public apparaît comme un outil d’émancipation politique et culturel.
Élodie Gentina (IÉSEG School of Management) a étudié la génération Z dans 12 pays d’Asie. Elle vous fait découvrir ce qui caractérise aujourd’hui les jeunes Japonais, Chinois et Indiens.
L’éducation des jeunes indiens leur permet de s’épanouir et malgré des inégalités persistantes, leurs habitudes de consommation évoluent, notamment vers le numérique.
La politique de l’enfant unique et la culture traditionnelle rendent les parents chinois très exigeants envers leurs enfants, qui tendent aujourd’hui à se réfugier dans le numérique.
Présupposer, comme les transhumanistes, que les humains sont inférieurs aux machines qu’ils créent pourrait aboutir à une perte de sens de ce qu’est l’humain.
Si l’intelligence artificielle devient un jour supérieure à la nôtre, l’humanité risque de devenir esclave des machines. Est-ce vraiment ce que nous voulons ?
La tentation d’améliorer les capacités humaines avec la technologie porte le risque de notre asservissement à la machine. Démonstration en trois podcasts.
Participation aux vendanges, dégustation de vins avec un œnologue… le tourisme autour du vin peut surfer sur la vague des vacances locales en permettant à chacun de vivre des expériences mémorables.
Le secteur du vin a bien saisi l’importance de prendre le virage de la transition écologique et mise désormais sur le développement d’expériences touristiques durables et responsables.
L’analyse détaillée de la limitation de vitesse à 110km/h sur autoroute, des incitations à l’adoption du véhicule électrique ou encore de la taxe aux frontières, révèle leur portée limitée.
Comme l’a montré l’économiste William Nordhaus, fixer au niveau de l’UE un prix du carbone unique, dissuasif, et croissant dans le temps apparaît comme une solution nettement plus efficace.
Les marges de manœuvre budgétaires limitées de l'État compliquent la remise à plat d'un système de bonus / malus qui n'a pas encore fait décoller le marché.