Riches en oméga-3, des acides gras essentiels, les micro-algues peuvent avantageusement remplacer les sources habituelles (huiles végétales, poissons bleus). Plusieurs sont aujourd’hui à l’étude.
Les invasions biologiques sont une menace importante pour la biodiversité, mais elles coûtent aussi très cher à nos sociétés. Une étude estime ce coût à plus de 1000 milliards de dollars depuis 1970.
L’océan Atlantique continue de s’étendre mais les hommes surexploitent ses ressources, dont l’espèce la plus célèbre – la morue – illustre les ravages de la pêche à outrance.
Une nouvelle recherche publiée dans la revue Nature révèle qu'il existe plus de 1,2 million de barrières d'écoulement sur les rivières européennes et qu’environ 10 % sont obsolètes.
Les pressions anthropiques et le changement climatique menacent les poissons migrateurs. Mieux évaluer les services écosystémiques qu’ils nous rendent nous encouragerait à mieux les protéger.
Véronique Dubos, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Les Inuits conçoivent que tous les êtres vivants ont un certain libre arbitre. Et si la rigide science cartésienne s’ouvrait un peu à cette vision du vivant ?
Mangroves, coraux et herbiers marins forment à l’île Maurice trois écosystèmes interconnectés, dont l’équilibre peut être durablement bouleversé par la pollution au pétrole.
La réglementation a permis de réduire les émissions de mercure à l’échelle mondiale, mais les risques pour les écosystèmes océaniques et la santé humaine pourraient s’aggraver.
Les morues polaires sont des proies essentielles pour les phoques, les baleines et les oiseaux de mer. Que se passe-t-il lorsque le bruit des navires les chasse ?
Rodolphe Gozlan, Institut de recherche pour le développement (IRD) and Marine Combe, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Une étude récente souligne les effets du réchauffement climatique sur l’antibiorésistance dans les fermes aquacoles. Une situation qui constitue une menace pour la sécurité alimentaire mondiale.
Des « animaux préhistoriques », comme des requins ou des poissons semblant arriver d’un autre âge, font parfois les gros titres. Pourtant, toutes les espèces connues sont « préhistoriques ».
Les larves de poisson se nourrissent de plancton mais de plus en plus de plastiques de taille similaire sont présents dans les océans donc les chances de consommer du plastique augmentent.