Des gardes républicains se tiennent à côté d'une photo de l'ancien président français Valéry Giscard d'Estaing alors que les gens arrivent pour signer le livre d'or au Musée d'Orsay à Paris, le 9 décembre 2020, jour de deuil national de l'ancien président.
Auteur / Source / Crédit STEPHANE DE SAKUTIN/AFP
Le septennat de VGE est marqué par l’absence d’un legs marquant côté culturel, que ce soit une institution nationale ou un cérémonial à la symbolique porteuse.
La logique du prix oriente les jeunes générations vers une «culture de jury» ? (Ici, remise du Goncourt des lycéens 2018)
Damien Meyer/AFP
Demander aux élèves de jouer le rôle d’un jury ne transmet-il pas une vision trop verticale de la culture ? Une question à se poser avec la remise du Goncourt des lycéens ce 2 décembre 2020.
Le ministère de la Culture, rue de Valois à Paris. Une « tour d’ivoire défraîchie ».
Falcon photography/Flickr
Claude Patriat, Auteurs historiques The Conversation France and Isabelle Mathieu, Auteurs historiques The Conversation France
La culture est le parent pauvre de la campagne électorale. Il est pourtant urgent de retrouver enfin le sens perdu de l’action culturelle, au-delà d’un ministère moribond et condamné à l’impuissance.
Le graffiti, devenu « street art » pour les politiques culturelles.
Pixabay
Fabrice Raffin, Auteurs historiques The Conversation France
Les politiques publiques continuent d'ignorer toute une gamme de pratiques culturelles : pourtant, la culture ne se réduit pas à l'art et elle existe hors de toute institution.
Le système français de soutien au cinéma paraît fondé sur la neutralisation méthodique de presque tous les mécanismes de marché. Face à la révolution numérique, il doit changer de logique.
Malgré les subventions au cinéma français, 10 % des films étaient rentables en 2013 ; deux films ont réalisé plus de 3 millions d’entrées en 2015 ; 80 % de la production concerne quatre genres.
Fresque d'écrivains à la librairie Barnes & Nobles de Stamford, Connecticut.
Monica Arellano-Ongpin/Flickr
L’écrivain doit se tenir hors jeu pour rendre compte du jeu. Et c’est en cela qu’il est en danger. L’enjeu n’est pas tant une question de statut, mais la possibilité même de se mettre hors jeu.
Balzac aujourd'hui : sculpture de l’écrivain par Rodin, au MoMA, New York.
Bobistraveling/Flickr
Nathalie Heinich, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Les écrivains doivent-ils tous vivre de leur plume exclusivement ? Ou relèvent-ils d’une économie mixte ? D’un régime vocationnel plutôt que d’un régime professionnel ? Débat.
Le métier d'écrivain vu par Rémi Malingrëy.
Remi Malingrëy
Comment sortir les écrivains professionnels de la précarité et leur proposer des occasions d’écrire et des lieux adaptés ? L’exemple québécois est à méditer.