Les chefs d’entreprise français revoient à la baisse des projets pourtant indispensables à la transition numérique et énergétique, au risque de perdre encore plus en compétitivité.
Aussi soudaine qu’inédite, la crise que nous traversons interroge la pertinence de la prévision économique et invite les experts à faire preuve d’une grande humilité.
Face aux ruptures de stocks et pénuries, il semble pertinent pour les entreprises de diversifier les sources d’approvisionnement et pour les États de consolider une politique commerciale régionale.
La chaîne d’approvisionnement du papier hygiénique fonctionne en mode « juste-à-temps », ce qui donne de la souplesse et permet aux étalages de rester garnis. La pandémie a perturbé ce processus.
Les chaînes de valeur globales qui caractérisent nos économies mondialisées sont aujourd’hui mises à mal par les dépendances que révèle cruellement la pandémie.
La crise sanitaire met en lumière le cycle vicieux entre croissance mondialisée, changement climatique et épidémie, et invite à repenser un nouveau paradigme économique.
Avec l’essor des activités numériques, les entreprises capturent de plus en plus de valeur en amont (R&D, conception) et en aval (marketing et services) du cycle productif.
Aux États-Unis ou encore en Europe, les entreprises revoient actuellement leurs politiques financières face à une période attendue de croissance plus faible.
À l’occasion de la sortie du film « Star Wars : l’Ascension de Skywalker », décryptage du succès de la saga la plus iconique et la plus rentable de tous les temps.
Les Français sont aujourd’hui davantage prêts à la sobriété énergétique qu’à la réduction de leur consommation d’objets. Les auteurs du livre « Du gaspillage à la sobriété » expliquent pourquoi.
Au-delà des mauvaises récoltes annoncées pour 2019, la filière est en proie à des problèmes structurels dont la résolution nécessite de rompre avec de vieilles habitudes.
David Moroz, South Champagne Business School (Y Schools) – UGEI and Bruno Pecchioli, South Champagne Business School (Y Schools) – UGEI
La filière française reste naissante mais elle peut se targuer de nombreux atouts, de la céréale au tonneau en passant par le savoir-faire en matière de production de spiritueux.
Depuis 1995, ce fabricant américain innove pour réduire son empreinte carbone recyclant, par exemple, des filets de pêche. Prochaine étape : des produits à impact positif !