Certaines sociétés ne craignent pas d’engager des fonds dans des États peu stables, sans avoir recours à la protection de traités bilatéraux. Elles mobilisent pour cela leur influence politique.
Les Français sont aujourd’hui davantage prêts à la sobriété énergétique qu’à la réduction de leur consommation d’objets. Les auteurs du livre « Du gaspillage à la sobriété » expliquent pourquoi.
En 40 ans, les évolutions de l’entreprise ont démultiplié les rôles de ces experts. Un travail de recherche de l’IÉSEG recense les cinq profils types que l’on retrouve aujourd’hui.
Bénédicte Aldebert, Aix-Marseille Université (AMU) and Antonin Ricard, IAE Aix-Marseille Graduate School of Management – Aix-Marseille Université
Les modes de raisonnement des décideurs expliquent leurs réactions face à une opportunité à l’international. Une meilleure connaissance de ces logiques peut permettre de lever certaines barrières.
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Les critères retenus par la loi restent insuffisants pour définir précisément la pénibilité d’un métier, notamment car ils ne retiennent pas la dimension « bien-être ».
L’attaque contre le système de la municipalité américaine montre que les dispositifs techniques et juridiques resteront insuffisants tant qu’une culture de la cybersécurité ne se sera pas développée.
Un partage équitable de la valeur, des procédures plus simples ou encore une transparence renforcée peut contribuer à lever certains freins dans les usages.
Solange Martin, Ademe (Agence de la transition écologique)
Une enquête menée auprès de chefs d’entreprises révèle qu’ils sont très majoritairement en faveur des mesures de politiques publiques pour l’environnement, y compris contraignantes pour leur activité.
La récente réforme du règlement intérieur du Parlement européen vise à favoriser la transparence. Les activités de lobbying sont directement concernées.
Marc Bidan, Auteurs historiques The Conversation France
Diverses menaces exogènes – concurrence, législation, piratage) et endogènes (business model, leadership, capacité d’innovation – pèsent sur le géant californien à court, moyen et long terme.
Une étude indique que l’ensemble des informations supplémentaires communiquées dans le cadre de la norme IFRS 13 n’est pas forcément les plus utiles aux investisseurs.
Les spécificités des coopératives agricoles freinent l’entrée des salariés au sein des instances de gouvernance. Leur présence apporterait pourtant un certain nombre de bénéfices.
De plus en plus de pays misent sur l’approche par la transparence dans leur réglementation. Pour quelle efficacité ? Selon les spécificités locales, le bilan reste à ce jour mitigé.