Seules 7,5 % des petites et moyennes entreprises développent un discours en ligne incitant de potentiels candidats à les rejoindre avec une mise en forme agréable et hospitalière en soutien.
Les classements et les listes ESG ne sont pas parfaitement fiables pour ceux qui s’en inspirent dans leurs décisions d’achat et d’investissement.
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Des entreprises qui se classent bien sur certaines listes évaluant les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), arrivent en bas d’autres listes. À quels classements se fier ?
Des personnes participent à une manifestation à Montréal, le dimanche 20 décembre 2020, pour protester contre les mesures mises en place par le gouvernement du Québec pour aider à stopper la propagation de la Covid-19. Partout dans le monde, les mesures mise en place depuis la début de cette pandémie ont suscité de l'opposition.
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La notion d’acceptabilité sociale, désormais bien présente dans la sphère publique, gagne en popularité sans pour autant que l’on sache vraiment de quoi il est question.
Le déploiement avec succès d’outils numériques en contexte de pandémie commande leur intégration dans une politique et une stratégie inclusives.
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Le succès relatif des applications de notification de contact, tant au Canada qu’ailleurs dans le monde, a mis en évidence la nécessité d’informer la population sur leurs enjeux éthiques.
L’entreprise a pour ambition de devenir à terme une « B. Corp » à 100 %, une certification traduisant sa volonté de créer de la valeur en la partageant notamment avec les salariés.
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Le groupe agroalimentaire, dont une partie des activités est certifiée « B Corp », a annoncé vouloir supprimer jusqu’à 2 000 emplois dans le monde pour améliorer sa rentabilité.
Longtemps associé aux produits venus des pays en voie en développement, le commerce équitable se développe aussi au niveau des productions françaises.
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Face aux urgences exacerbées par la crise du Covid-19, il convient de rééquilibrer le partage des revenus dans l’économie en garantissant le prix le plus juste aux producteurs étrangers et locaux.
Et si c’était le moment d’avancer sur la réflexion de la « raison d’être » des entreprises ?
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Les craintes particulières liées à la vie humaine génèrent des questionnements qui pourraient conduire à modifier en partie les comportements des consommateurs, des salariés et des investisseurs.
La coopération est plus que jamais une nécessité.
Les Finances
La crise remet sur le devant de la scène l’importance de la responsabilité sociale des entreprises, reflet des attentes voire des exigences, et des motivations de leurs parties prenantes.
Les consommateurs sont de plus en plus exigeants envers les grandes surface. Ils demandent une juste rémunération des producteurs et un impact environnemental réduit dans leurs achats.
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Ces deux axes de communication paraissent antagonistes. Pourtant, aux yeux de certains consommateurs, certaines grandes surfaces réussissent à résoudre le paradoxe.
Avec la loi Pacte, publiée le 23 mars 2019, l’entreprise doit définir son rôle au-delà de la sphère économique.
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La raison d’être invite au rassemblement et à la cohésion collective pour relever les défis du monde contemporain. Ne pas en tenir compte, c’est passer à côté d’enjeux majeurs.
Mohammed Hanzaz, Institut National d’Aménagement et d’Urbanisme de Rabat and Abdelfattah Rouchdi, Institut National d’Aménagement et d’Urbanisme de Rabat
Par la nature de ses services, ses objectifs, sa mission et son influence dans la société, l’université est censée jouer un rôle pionnier et impulser les changements pour une ville durable.
Professeure titulaire, Faculté de droit, Chaire de recherche du Canada en droit et politiques de la santé, Centre de recherche en droit public, Université de Montréal